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Dans les diagonales du temps
9 mars 2020

Sepik, arts de Papouasie Nouvelle-Guinée au Musée du quai Branly (2)

Sepik, arts de Papouasie Nouvelle-Guinée au Musée du quai Branly (2)
Sepik, arts de Papouasie Nouvelle-Guinée au Musée du quai Branly (2)
Sepik, arts de Papouasie Nouvelle-Guinée au Musée du quai Branly (2)
Sepik, arts de Papouasie Nouvelle-Guinée au Musée du quai Branly (2)
Sepik, arts de Papouasie Nouvelle-Guinée au Musée du quai Branly (2)
Sepik, arts de Papouasie Nouvelle-Guinée au Musée du quai Branly (2)
Sepik, arts de Papouasie Nouvelle-Guinée au Musée du quai Branly (2)
Sepik, arts de Papouasie Nouvelle-Guinée au Musée du quai Branly (2)
Sepik, arts de Papouasie Nouvelle-Guinée au Musée du quai Branly (2)
Sepik, arts de Papouasie Nouvelle-Guinée au Musée du quai Branly (2)
Sepik, arts de Papouasie Nouvelle-Guinée au Musée du quai Branly (2)
Sepik, arts de Papouasie Nouvelle-Guinée au Musée du quai Branly (2)
Sepik, arts de Papouasie Nouvelle-Guinée au Musée du quai Branly (2)
Sepik, arts de Papouasie Nouvelle-Guinée au Musée du quai Branly (2)
Sepik, arts de Papouasie Nouvelle-Guinée au Musée du quai Branly (2)
Sepik, arts de Papouasie Nouvelle-Guinée au Musée du quai Branly (2)
Sepik, arts de Papouasie Nouvelle-Guinée au Musée du quai Branly (2)
Sepik, arts de Papouasie Nouvelle-Guinée au Musée du quai Branly (2)
Sepik, arts de Papouasie Nouvelle-Guinée au Musée du quai Branly (2)
Sepik, arts de Papouasie Nouvelle-Guinée au Musée du quai Branly (2)
Sepik, arts de Papouasie Nouvelle-Guinée au Musée du quai Branly (2)
Paris, octobre 2015

Paris, octobre 2015

 

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9 mars 2020

Ian Rank-Broadley

Ian Rank-Broadley
9 mars 2020

Art Libertin du Mur de Berlin à Chartres

Publié le 28 avril 2016 par lesdiagonalesdutemps

Art Libertin du Mur de Berlin à Chartres
Art Libertin du Mur de Berlin à Chartres
Art Libertin du Mur de Berlin à Chartres
Art Libertin du Mur de Berlin à Chartres
Art Libertin du Mur de Berlin à Chartres
Art Libertin du Mur de Berlin à Chartres
Art Libertin du Mur de Berlin à Chartres
Art Libertin du Mur de Berlin à Chartres
Art Libertin du Mur de Berlin à Chartres
Art Libertin du Mur de Berlin à Chartres
Art Libertin du Mur de Berlin à Chartres
Art Libertin du Mur de Berlin à Chartres
Chartres, mars 2016

Chartres, mars 2016

 

9 mars 2020

Jupiter Casadesus (2)

Jupiter Casadesus (2)
Jupiter Casadesus (2)
Jupiter Casadesus (2)
Jupiter Casadesus (2)
Jupiter Casadesus (2)
Jupiter Casadesus (2)
Jupiter Casadesus (2)
Jupiter Casadesus (2)
Jupiter Casadesus (2)
Jupiter Casadesus (2)
Jupiter Casadesus (2)
Jupiter Casadesus (2)
Jupiter Casadesus (2)
Jupiter Casadesus (2)
Jupiter Casadesus (2)
Jupiter Casadesus (2)
Jupiter Casadesus (2)
Jupiter Casadesus (2)
Jupiter Casadesus (2)
Jupiter Casadesus (2)
Jupiter Casadesus (2)

 

9 mars 2020

Pompéi, un film de Paul W. S. Anderson

[Critique] POMPÉI

  

 

Si vous êtes sourcilleux d'exactitudes historiques et amoureux des acteurs qui jouent tout en nuance je ne vous conseillerais pas le film d'Anderson; mais si en revanche les fantaisies historiques vous amusent, même si nous sommes ici plus dans le film catastrophe que le péplum, et que vous êtes nostalgique des péplums genre Ulysse contre les martiens (ne cherchez pas dans votre vidéothèque ou votre bibliothèque de cinéphile j'ai inventé ce titre mais je suis sûr que les amateurs me comprennent) ne vous privez de ce plaisir un peu honteux (mais vous n'êtes pas obligé d'avouer à votre entourage que vous fréquentez des mauvais lieux). En plus vous ferez une bonne affaire pour le prix d'un billet vous verrez plusieurs films dans l'ordre Spartacus, pas le film de Kubrick mais la série australienne que le scénariste de Pompéi a un peu trop regardé (on peut aller voir mon billet sur cette série:  Spartacus: Blood and sand (saison 1) réédition complétée. Durant toute la première partie on a l'impression de voir une séquelle de cette série, malheureusement l'érotisme en moins. Puis le volcan fume et nous sommes dans « Les derniers jours de Pompéi » en beaucoup moins romantique. Le noeud de l'histoire, dénouée si je puis dire par l'éruption du Vésuve, est que le très méchant sénateur poursuit de ses assiduité une belle jeune femme, Flavia (Emily Browning)fille d'un des patriciens les plus important de la ville. Celui-ci est prêt à tout pour la mettre dans son lit. Mais par bonheur elle est aimée par un beau gladiateur, Milo le celte Milo joué par Kit Harington (vu dans le trône de fer), l'acteur manque un peu de charisme et de muscle pour le rôle. Les parents de Milo ont été massacrés jadis par l'affreux sénateur. Le celte n'a qu'une obsession se venger du vilain romain qui en plus convoite son aimée. Il sera aidé dans son entreprise par un autre gladiateur, Atticus (Adewale Akinnuoye-Agbajevu dans Oz et Lost, le meilleur acteur de cette curieuse distribution) très fort et très gentil donc noir. L'affreux sénateur est joué à la truelle par Jack Bauer, alias Kiefer Sutherland tout en rictus et regards torves. Comme vous le constatez les subtilités scénaristiques ne sont pas de mise. En bonus vous aurez droit à une poursuite en char à situer cinématographiquement entre « Bullit » et « Ben-hur » et un tsunami avec un vaisseau sur la crête de la monstrueuse vague poursuivant la foule éperdue dans une rue de la ville. Enfin coté pyrotechnie vous devriez pas être déçu non plus et vous aurez une bonne représentation de ce qu'a pu être le bombardement de Dresde ou de Tokyo par des bombes incendiaires en 1945, ce qui n'a bien sûr aucun rapport avec ce qui s'est passé en réalité à Pompéi car si ce que nous voyons sur l'écran avait réellement eu lieu il n'y aurait plus rien à voir au pied du Vésuve.

Le scénario du film vous rappellera si vous êtes doué pour les transpositions « Le titatic » de James Cameron et la première scène, le massacre des habitants du village celte le « Gladiator de Ridley Scott.Si vous êtes vraiment pervers vous vous souviendrez peut être aussi de Conan le barbare dans lequel un enfant abandonné devenait gladiateur. Ils se sont mis à quatre pour concocter le scénario qui ne semble être au final qu'un patchwork de films et de séries...

Tout dans le film d'Anderson n'est tout de même pas qu'élucubrations, si la ville n'est pas judicieusement placée par rapport au Vésuve, elle est beaucoup plus près du volcan que dans la réalité, la reconstitution de la ville dans ses détails monuments et rues me paraît assez juste (je l'ai arpentée il n'y a pas si longtemps) en revanche sa géographie générale est assez fantaisiste ou disons qu'on lui a adjoint Herculanum. La topographie de la villa romaine est bien reconstituée dans celle des X, le modèle en étant probablement la villa des mystère tant par sa situation par rapport à la ville que par la répartition des pièces.

Grâce aux effets spéciaux et au colossal budget alloué pour le film on ne s'ennuie pas mais on espère que pas trop de lycéen iront voir ce film dèjà qu'ils sont persuadés qu'Hitler a été flingué dans un cinéma parisien par un commando de juifs américain grâce à Tarantino, cette fois à cause d'Anderson ils auront une curieuse image de la fin de Pompéi...

 

  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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9 mars 2020

Jongens un film de Mischa Kamp

Jongens un film de Mischa Kamp
Jongens, Petits garçons, film gay

 

Pays-Bas,

 

Réalisation:Mischa Kamp

 

Avec: Gijs Blom, Stijn Taverne,  Jonas Smulders, Ko Zandvliet 

 

 

Jongens, Petits garçons, 2

 

 

Résumé

 

Sieger (Gijs Blom), 15 ans, s’entraîne pour les championnats d’athlétisme en compagnie de son meilleur ami Stef (Stijn Taverne). Depuis la mort de sa mère, il vit seul avec son père et son frère Eddy (Jonas Smulders). Ce dernier traverse une phase de rébellion : il ne va plus travailler et traîne dehors où il semble se fourrer dans des combines un peu louches. De quoi susciter de petites tensions au cœur d’un noyau familial fragile. Mais Sieger est un peu ailleurs : outre la concentration que requiert son entraînement, il est troublé par ses premiers désirs. Tandis que son ami Stef court après les filles et l’incite à en faire de même, le garçon se révèle hésitant. Il est davantage attiré par Marc (Ko Zandvliet), un autre jeune athlète qu’il a croisé sur la piste d’athlétisme. Se tournant autour, les deux sportifs finissent par entamer une liaison chaste et secrète. Si Marc assume et vit pleinement ce qu’il considère comme un début de relation, Sieger a plus de mal…

 

 

Jongens, Petits garçons, 3

 

 

boys_mischa_kamp_film

 

 

boys_mischa_kamp_gay

 

Si ces garçons sont très agréables à regarder d'autant qu'ils sont plutôt bien fimés avec une fétichisation certaine de leur activité sportive, on ne voit pas bien la nécéssité de ce film dix après Summer Storm dont il empreinte l'argument. Le cinéaste visiblement est très amoureux de ses acteurs, on ne lui jettera pas la pierre, ce qui nous vaut des plans appuyés sur les petits shorts et les positions provocantes que prennent ces garçons durant les entrainements.

Il reste que si le scénario ne présente aucune surprise cette chronique adolescente en milieu rural qui nous replonge avec délice dans ces après-midis à faire du vélo dans la campagne, on pense à la chanson "A bicyclette" que chantait Yves Montant.

Il y a même du symbolisme dans tout cela La piste d’athlétisme comme métaphore de la vie. Pour Sieger la grande question est de savoir s’il se sent prêt à quitter la ligne droite de la normalité pour s’accepter et vivre ce que lui dicte son cœur.

Les échanges entre les deux garçons sont mignons, et on entre volontier dans leur intimité dans leur petite bulle qu'ils se sont créee 

 

 

Jongens, Petits garçons, 4

 

 

Jongens, Petits garçons 5

 

 

 

Jongens, Boys 1

BOYS (Bande-Annonce Française Officielle)

 

9 mars 2020

Sophie Morisse

Sophie Morisse
9 mars 2020

La paix des dupes de Philip Kerr

La paix des dupes de Philip Kerr

En matière de roman d’espionnage je suis resté de la vieille école autant dire que je m’intéresse peu aux histoires de barbus mais fais toujours mon miel des histoires méandriques de la guerre froide, avec ce maître incontesté qu’est John Lecarré tout du moins avant qu’il tombe dans un tier-mondisme-écolo-obscurantiste, plus rarement je m’ aventure du coté de la deuxième guerre mondiale avec une tendresse pour les classiques du genre que sont les romans d’Eric Ambler et de Jean Bommart.

Je n’avais encore rien lu alors de Philip Kerr, lorsque j'ai ouvert ce roman dès que je l'ai eu refermé, j’espèrai que cette premiere lecture d'un livre de Kerr serait suivi de celles de nombreux autres livres de cet auteur, ce qui fut le cas avec surtout la saga des aventures de Bernar Gunter dans l'Allemagne nazie. Avec le recul, il s'est avéré que "La paix des dupes" est un des meilleurs livres de Kerr.

Dans “La paix des dupes” nous sommes en 1943 et nous suivons deux espions de haut vol, intimes de leur chef d’état respectif, d’une part le professeur Willard Mayer, philosophe de renom et néanmoins ponte de l’OSS (l’ ancètre de la CIA) qui est à la fois d’origine juive et allemande et d’autre part Schellenberg, général allemand très peu nazi responsable du contre espionnage. Schellenberg pour sauver l’Allemagne, déjà en fort mauvaise posture en cette fin 1943 à imaginer le plan machiavélique de tuer les trois grands, Roosevelt, Churchill et Staline lors de leur rencontre au sommet à Téhéran. Plan que Mayer va tenter de faire échouer.

Les deux héros de Philip Kerr, pas très héroïques souvent (quoique vers la fin du volume Mayer nous prend un petit air de Jack Bauer) ont quelque chose du désabusé d’un Marlowe. Le roman est d’ailleurs très proche de la tradition du polar “hard boiled” américain, dans lequel un homme est en prise avec un monde bancal, essayant de sauver quelques miettes de dignité et d'honnêteté alors que tout le reste s'effondre, inexorablement.

Ne comptez pas sur moi pour vous dire si ce roman est une uchronie, ou plus exactement le point de départ d’une formidable uchronie, dans le cas où Scheollenberg et ses sbires réussissent ou si dans le livre le plan échoue et devient un roman à la Dumas brodant sur les marges de l’histoire.

En espérant que le suspense vous conduira sans retard à acheter ce livre épatant que l’on ne peut pas lâcher après la lecture de la première page malgré un début un peu lent inhérent au genre.

Au delà du plaisir enfantin de connaître la suite “La paix des dupes” nous rappelle la complexité des choses en brouillant le manichéisme qui est de rigueur lorsque l’on envisage  cette période de notre histoire.

Ce qui me rend d’ emblée Kerr sympathique c’est sont anti soviétisme primaire attitude qui aujourd’hui se fait rare ce que je regrette tous les jour. Ce n’est pas que l’on sente chez cet homme un grand amour du nazisme, du colonialisme ni même des démocraties occidentales. Pas plus qu’un amour immodéré des anglais, des américains, des allemands, des polonais des égyptiens ou des iraniens autant de peuples qui traversent le livre. Notre distingué plumitif aime peut être les esquimaux ou les natifs de Bornéo maiscomme ils n’ ont joué qu’ un rôle modeste durant la seconde guerre mondiale, il n’en parle pas...

Il n’en demeure pas moins que ce livre, qui a demandé une connaissance parfaites des arcanes de la seconde guerre mondiale peut déplaire. Tout d’abord par le style qui fait que la progression dramatique est presque exclusivement due aux dialogues, mais dans ce cas, ce lecteur qui sera gêné par ce mode de narration, sera allergique à quatre vingt quinze pour cent de la littérature anglo-saxonne contemporaine... Plus sérieusement il peut avoir un peu de mal à entrer dans l’intimité d’Hitler, Himmler et consort qui perdent ainsi leur statut de monstre pour devenir des hommes presque ordinaires. L’auteur lui même semble avoir éprouvé quelques malaises à cette fréquentation car à partir de la seconde partie du roman Willard Mayer est beaucoup plus présent que Schellenberg. Ce qui déséquilibre ce qui me semblait être le projet initial de Kerr.

Je crois vous l’avoir déjà dit précédemment, j’ai toujours un grand plaisir, un peu snob je l’avoue, à découvrir aux détours des pages d’un livre quelqu’un que j’ai croisé dans “la vraie vie”. Je dois dire que je ne m’y attendais pas dans un tel roman, et voici que surgit entre deux péripéties sanglantes et historiques, Enoch Powell que j’avais eu l’insigne honneur de rencontrer lorsqu’il briguait la place de leader des torys; mais il fut battu par Thatcher. Je songe que si les choses avaient tourné autrement l’East end londonien serait moins coloré et qu’ ainsi il n’y aurait pas eu l’ attentat qui a endeuillé Londres... Ah quand le virus de l’uchronie vous tient...

“La paix des dupes” n’est pas seulement un divertissement haletant il a aussi le grand mérite d’humaniser cette période en donnant chair aux grands de ce monde (et aux petits). Il met en évidence aussi que les deux camps en présence étaient loin d’être homogènes et que même dans les grandes pages de l’histoire presque tous les hommes, grands et petits, songent surtout à jouer leurs cartes personnelles.

9 mars 2020

Martin Bedolla

 

Martin Bedolla
Martin Bedolla
Martin Bedolla
Martin Bedolla
Martin Bedolla
Martin Bedolla
Martin Bedolla
Martin Bedolla
Martin Bedolla
Martin Bedolla
Martin Bedolla
Martin Bedolla
Martin Bedolla

 

9 mars 2020

Sepik, arts de Papouasie Nouvelle-Guinée au Musée du quai Branly

Sepik, arts de Papouasie Nouvelle-Guinée au Musée du quai Branly
Sepik, arts de Papouasie Nouvelle-Guinée au Musée du quai Branly
L'entrée du musée le soir du vernissage de l'exposition

L'entrée du musée le soir du vernissage de l'exposition

Sepik, arts de Papouasie Nouvelle-Guinée au Musée du quai Branly
Sepik, arts de Papouasie Nouvelle-Guinée au Musée du quai Branly

L’exposition rassemble un ensemble de 230 sculptures liées à la vallée du Sepik, immense marais qui s’étend au nord de la Papouasie-Nouvelle-Guinée. Elle abrite depuis le premier millénaire avant notre ère des populations qui vivent sur les berges ou dans des zones proches du fleuve Sepik et de ses affluents.

Le parcours de l’exposition mène à la découverte progressive d’une figure majeure et commune à toutes les cultures du "bas" et du "moyen" Sepik : le ou les ancêtres fondateurs.

Dans les sociétés du Sepik, la figure de l’ancêtre ne se donne pas à voir immédiatement. Elle se comprend petit à petit dans toute sa complexité. Le parcours de l’exposition doit permettre au visiteur d’appréhender les multiples formes et variations sous lesquelles ces figures ancestrales se manifestent en partant de leurs formes publiques pour aller vers leursformes "secrètes".

Cette superbe exposition est très pédagogique, ce qui tombait bien ignorant tout des papous (sauf ceux qui sont dans la tête). Elle révèlera sans doute à beaucoup de ses visiteur combien était rafiné leur art alors qu'ils étaient complètement isolés. Devant ces magnifiques sculptures il faut bien avoir en tête qu'ils n'avaient aucun outil métallique...

 

 

Sepik, arts de Papouasie Nouvelle-Guinée au Musée du quai Branly
Sepik, arts de Papouasie Nouvelle-Guinée au Musée du quai Branly
Sepik, arts de Papouasie Nouvelle-Guinée au Musée du quai Branly
Sepik, arts de Papouasie Nouvelle-Guinée au Musée du quai Branly
Tambour à fente; à la fin de l'exposition la dernière salle permet d'entendre le son de divers instruments dont celui-ci

Tambour à fente; à la fin de l'exposition la dernière salle permet d'entendre le son de divers instruments dont celui-ci

 

Sepik, arts de Papouasie Nouvelle-Guinée au Musée du quai Branly
Sepik, arts de Papouasie Nouvelle-Guinée au Musée du quai Branly
Sepik, arts de Papouasie Nouvelle-Guinée au Musée du quai Branly
Sepik, arts de Papouasie Nouvelle-Guinée au Musée du quai Branly
Sepik, arts de Papouasie Nouvelle-Guinée au Musée du quai Branly
Sepik, arts de Papouasie Nouvelle-Guinée au Musée du quai Branly
Sepik, arts de Papouasie Nouvelle-Guinée au Musée du quai Branly
Sepik, arts de Papouasie Nouvelle-Guinée au Musée du quai Branly
Sepik, arts de Papouasie Nouvelle-Guinée au Musée du quai Branly
Sepik, arts de Papouasie Nouvelle-Guinée au Musée du quai Branly
certains cartouches sont destinés plus particulièrement aux enfant. Ils donnent la parole à un jeune papou qui raconte comment il vit.

certains cartouches sont destinés plus particulièrement aux enfant. Ils donnent la parole à un jeune papou qui raconte comment il vit.

 

Sepik, arts de Papouasie Nouvelle-Guinée au Musée du quai Branly
Sepik, arts de Papouasie Nouvelle-Guinée au Musée du quai Branly
Sepik, arts de Papouasie Nouvelle-Guinée au Musée du quai Branly
Sepik, arts de Papouasie Nouvelle-Guinée au Musée du quai Branly
Sepik, arts de Papouasie Nouvelle-Guinée au Musée du quai Branly
Sepik, arts de Papouasie Nouvelle-Guinée au Musée du quai Branly
Paris, octobre 2015

Paris, octobre 2015

 

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