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Dans les diagonales du temps
9 mars 2020

Gourlier

350 à 400€ estimation pour la vente à Drouot du 15/10/2016

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Gourlier

 

1000 à 1500€ estimation pour la vente à Drouot du 15/10/2016

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Gourlier, portrait

 

1200 à 1500€ estimation pour la vente à Drouot du 15/10/2016

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Michel Gourlier
350 à 400€ estimation pour la vente à Drouot du 15/10/2016

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Gourlier, le garçon du marais

 

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9 mars 2020

Tree of code à l'Opéra Garnier

Tree of code à l'Opéra Garnier

Dans le noir, que la musique a commencé à habiter, arrive une sarabande de lucioles frénétiques, sur leur collant les danseurs ont des sources lumineuses fixées sur les bras et les jambes. Puis la nuit s'estompe pour laisser place à une douce pénombre. La musique se modifie, elle devient plus lancinante quelque chose entre Philip Glass et la musique planante des années 70 qui aurait été vitaminée par la techno. Elle est due à Jamie XX. Elle a été composée spécialement pour ce ballet. Si elle est assez différente de celle de son groupe, XX, elle est proche de son album solo.  Sur cette bande son, souvent envoutante, ondulent les danseurs sur une chorégraphie de Wayne McGregor d'après Jonathan Safran Foer. A part de brefs intermèdes toute la soirée aura été pour moi un voyage dans le temps, dans ces années 70. La musique de Jamie XX aurait pu sonoriser mes lectures de ces années là des volumes de la collection anticipation du Fleuve noir et les danseurs avec leur collant couleur chair auraient pu en sortir tout droit. C'est un peu ainsi qu'alors on rêvait la vêture du futur... Le système scénique imaginé par le plasticien Olafur Eliasson, formé à base de rideaux et de miroirs est astucieux et troublant, le spectateur souvent ne sachant plus s'il voit un danseur ou son reflet. Les miroirs parfois diffractent les corps et souvent multiplient les danseurs donnant une ampleur grisante au ballet. C'est si habile que l'on se demande pourquoi les metteurs en scène de ballets n'utilisent pas plus souvent le subterfuge du miroir... Le procédé n'est pas pour rien dans mon voyage dans le temps car le décor de la dernière partie du ballet avec ses miroirs circulaires pivotants est très vasarélien... Presque tout le ballet se déroule dans une lumière entre chien et loup. Il est à ce propos dommage que cette ambiance lumineuse, due à Rob Halliday, soit rompue au milieu de la représentation par une, heureusement courte, intrusion de la lumière crue. Petite interrogation sur le choix des danseurs, la troupe est composée à la fois par des danseurs de l'Opéra de Paris et par des membres de la compagnie d'Wayne McGregor, qui a créé ce ballet à Manchester. Tous les danseurs évoluent en parfaite symbiose. Le trouble créé par les jeux de miroirs est renforcé par l'androgynie des danseurs. Jusqu'au salut on a un doute sur le genre de certains protagonistes. Certaines danseuses sont nettement plus grandes que quelques danseurs et possèdent une carrure qu'envieraient beaucoup de mâles. J'aimerais revoir ce ballet dansé uniquement par des hommes dont les corps me semblent plus adapté au type de gestuelle imaginé par Wayne McGregor, mais le spectacle y perdrait certainement en mystère. 

   

Paris, février 2017

Paris, février 2017

9 mars 2020

Pierino da Vinci - Mort de Conte Ugolino (Florence, Museo Nazionale del Bargello)

 

Pierino da Vinci - Mort de Conte Ugolino (Florence, Museo Nazionale del Bargello)
9 mars 2020

Cathédrale de Chartres, l'intérieur

Cathédrale de Chartres, l'intérieur
Cathédrale de Chartres, l'intérieur
Cathédrale de Chartres, l'intérieur
Cathédrale de Chartres, l'intérieur
Cathédrale de Chartres, l'intérieur
Chartres, mars 2016

Chartres, mars 2016

9 mars 2020

Lehnert & Landrock

Capture d’écran 2022-03-13 à 09

Lehnert & Landrock
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 


Rudolf Lehnert (1878-1948) et Ernst Landrock (1878-1966) pourraient être à l'heure actuelle les auteurs de l'œuvre photographique picturale la plus connue et monumentale sur l'Egypte et le Maghreb composée de scènes de genre, portraits, paysages et de beaux nus.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

 

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9 mars 2020

Another year, un film de Mike Leigh

 

 

Si j'aime les films de Mike Leigh, et "Another year" ne fait pas exception à la règle, c'est qu'en autre chose leurs personnages sont de vrais gens à la différence de la plupart de ceux qui habitent les films français qui sont souvent de purs esprits sans métier et n'ayant presque jamais de soucis d'argent celui-ci semblant leur arriver comme l'eau coule au robinet. 

C'est tout l'inverse que l'on constate chez le cinéaste anglais. Tous ses personnages qui ne sont pourtant jamais caricaturaux, parfois il ne sont qu'un peu excessifs, sont tous fortement caractérisés par leur position dans l'échelle sociale, beaucoup plus acceptée dans l'imaginaire britannique qu'elle l'est dans la société française où elle sciemment occultée.

  

 

Le film est rigoureusement construit. Le récit s'articule autour d'un couple aux abords de la soixantaine. Il est formé par Tom, ingénieur, et Gerry, psychologue. Il vivent confortablement dans leur coquette maison des alentours de Londres. Leur passion est le jardinage. Autour d'eux s'agrègent plusieurs personnes toutes au départ du film plus ou moins esseulé et mis à part leur fils qui travaille dans un cabinet juridique, d'une condition sociale inférieur à la leur. On comprendra que Tom et Gerry viennent de la classe ouvrière mais qu'ils s'en sont libérés contrairement à leurs proches.

  

 

Celle de cet entourage qui compte sans doute le moins pour le couple, Mary (Lesley Manville), une collègue de Gerry, qui est en quelque sorte son négatif, est pourtant celle qui par ses navrantes frasques donne l'impulsion à l'histoire.  

L'espace social n'est pas le seul auquel Leigh apporte tout son soin. On trouve dans "Another year" une grande attention au temps; celui qui passe, le film est découpé en quatre parties suivant les saisons ce qui induit aussi le temps qu'il fait et un souci constant chez le réalisateur que le chromatisme de son film soit à l'unisson du climat qui règne dans son histoire: couleurs chaudes pour l'été, froide s pour l'hiver dans une palette très réduite. Chaque séquence se déroule dans un climat différent qui est illustré par les changements des travaux auxquels Tom et Gerry se livrent dans leur jardin qui a la particularité de n'être pas contiguë à leur belle maison typiquement anglaise. L'écoulement du temps dans "Another year" a quelque chose de tchekhovien. 

Ce que j'apprécie également c'est le courage qu'a un cinéaste aujourd'hui de mettre en scène non l'extraordinaire mais l'ordinaire de vies communes et, c'est pour cela que les films de Mike Leigh sont aussi poignants.

  

 

Another year met le doigt sur une particularité anglaise à moins qu'à l'inverse ce soit une situation purement française que le film met en exergue; en Angleterre la présence d'une classe ouvrière blanche, alors que de ce coté ci de la Manche, elle s'est comme évaporée. Il est patent également que le marqueur de ce lumpen prolétariat anglais est son alcoolisme chronique qui l'exclut du reste de la société l'enfermant dans un enclos destructeur d'où leur impossibilité à s'exprimer. Ils sont comme vitrifiés par l'alcool. Le personnage du frère de Tom (David Bradley) est l'illustration de cela.

Comme toujours chez Mike Leigh, les acteurs, que l'on a déjà vus presque tous dans ses films précédents, sont si extraordinaires que l'on a jamais l'impression que ce sont des personnes qui jouent un rôle mais qu'en dehors de la tranche de vie que nous voyons à l'écran, ils continuent leur existence dont nous sommes presque gênés d'en avoir été les momentanés voyeurs.

Discrètement "Another year" est un grand film sur le sens de la vie.

  

  

Nota

Est-il besoin de le préciser, c'est l'immense Floc'h qui a signé l'affiche.    

 

 

9 mars 2020

We once were tide, un court métrage de Jason Bradbury

We once were tide, un court métrage  de Jason Bradbury
We once were tide, un court métrage  de Jason Bradbury

Grande Bretagne, 2011, 20mn

Réalisation: Jason Bradbury

Avec: Mandy Aldridge, Tristan Bernays, Alexander Scott

 

Résumé:

Anthony, un beau garçon guette à la fenêtre. Son ami de toujours, Kyle, vient lui rendre visite. Ils s’aiment, ils n’ont probablement connu personne d’autre dans leur contrée isolée. Chaque moment passé ensemble est un événement en soi, un effet magique qui redonne à la vie tout son souffle. Ces deux-là, l’un à côté de l’autre, forment une évidence. Un amour fort et nécessaire pour le jeune personnage principal, Anthony, qui doit au quotidien s’occuper de sa mère gravement malade qui ne se souvient plus de lui.

Kyle passe son temps à photographier Anthony, comme pour le capturer. Anthony apprendra sur la fin que son seul ami, son unique compagnon de rêveries, a été admis dans une école et qu’il est sur le point de partir. Il sera condamné à rester seul, il ne se ment pas à lui-même : plus rien ne sera jamais plus comme avant.

 

We once were tide, un court métrage  de Jason Bradbury

Avec We once were tide, qui pourrait se traduire par "Nous étions autrefois", immédiatement dès les premières images, on sait que l'on est devant un grand film. Sans avoir recours aux mots, le réalisateur parvient à donner en à peine quelques plans une consistance, un passé riche en émotions à ces deux garçons. Tout cela nous est montré presque sans dialogue et miracle du vrai cinéma on comprend tout. Les acteurs sont parfait. Le film bénéficie des paysages de l'ile de Wight, filmés mélancoliquement en parfaite adéquation avec cette histoire simple et bouleversante.

 

We Once Were Tide - Short Film

 

 

The Casting - Short Film

9 mars 2020

John Button et Scott Burton - Alex Katz, 1966

John Button et Scott Burton - Alex Katz, 1966
9 mars 2020

Montherlant, Sentein, Egermeier dans le Marianne du 30 mai 1940

Montherlant, Sentein, Egermeier dans le Marianne du 30 mai 1940
Montherlant, Sentein, Egermeier dans le Marianne du 30 mai 1940
Montherlant, Sentein, Egermeier dans le Marianne du 30 mai 1940
Montherlant, Sentein, Egermeier dans le Marianne du 30 mai 1940
Montherlant, Sentein, Egermeier dans le Marianne du 30 mai 1940
Montherlant, Sentein, Egermeier dans le Marianne du 30 mai 1940
Montherlant, Sentein, Egermeier dans le Marianne du 30 mai 1940
Montherlant, Sentein, Egermeier dans le Marianne du 30 mai 1940

Sport et Art par Henry de MONTHERLANT

Le sport est né de la guerre dont il perpétuait l'inutile pureté, il nous rappelait qu'une civilisation païenne avait enseigné aux Grecs la tragédie des cœurs dans l'amphithéâtre et celle des corps dans le stade ; que la fin du héros sur la scène et la victoire de l'athlète sur l'arène avaient élevé des peuples vers la mort et la vie dans deux messes également désespérées.

« Le sport, c'est le grand cercle vide et pur du stade qui doit devenir au milieu des casernes ouvrières, des usines et de l'entassement immonde des banlieues, le bassin de la joie, de l'inutilité, de la force et la dernière vasque où naisse la beauté. C'est la dernière patrie où la femme retrouve une grandeur que, de l'atelier à l'université, tout conspire à lui faire perdre, et où les jambes brunes et brillantes d'une fille, ruisselantes de lumière, de sueur et d'un éclat mystérieux de faïence, soutiennent un corps parfait comme deux colonnes nervées. Le sport vit dans ce lieu où l'intelligence s'éprend d'un corps, comme elle d'autant plus libre qu'il s'est soumis à un ordre et confié à un habitus, qu'elle voit obéir à une course aussi déterminée que celle d'un astre ; où le moindre geste est aussi inutile que la moindre conquête de l'esprit. »

Un jeune homme, M. François Sentein, écrit, dans la revue Prétexte, ces bonnes phrases. Il est vrai qu'il y a une mystérieuse corrélation entre le jeu du corps et le jeu de l'intelligence ; et il est vrai quel le stade est, sinon le seul, du moins un des très rares lieux où la jeune fille, sinon la femme, retrouve une grandeur que le monde moderne, « de l'atelier à l'université », conspire à lui faire perdre (l'université où les jeunes hommes apprennent tout ensemble à corrompre les jeunes filles, et à les mépriser de pouvoir les corrompre si aisément).

« Le sport, continue M. Sentein, rend à l'adolescent le domaine du jeu (de son enfance) ; il lui permet de continuer à se créer ces mondes éphémères, durs, exigeants, inflexibles, que l'enfant fait surgir en imaginant des règles, des conventions, des châtiments, et qui disciplinent ses premières révoltes, son premier romantisme, sa première évasion. Il nous parait grave que l'on ne se souvienne plus des rigueurs inutiles recherchées par des chevaliers sous le prétexte d'une dame aimée ; que l'on ne comprenne plus le sens du théâtre de Corneille, que l'on ne puisse voir dans la Princesse de Clèves qu'un livre moral et dans les Liaisons dangereuses (ou les Jeunes Filles), qu'un roman immoral ; que l'on ne sache plus voir tout ce qu'une anarchie cohérente recèle d'harmonie, tout ce que le sport offre de courtois. »

J'ai donné ces longues citations, parce qu'il est réconfortant de voir que, en un temps où la mode a cessé chez nous de se porter sur le sport, de jeunes intellectuels savent encore en parler si justement.

Les artistes, eux non plus, n'ont pas abandonné le sport. La guerre a suspendu le projet d'une édition des Olympiques, illustrée par l'admirable Luc-Albert Moreau. Par contre, un photographe tchécoslovaque, Karel Egermeier, m'avait proposé l'an dernier de les illustrer, et cet album va paraître. Au vrai, il ne s'agit pas du texte même des « Olympiques » ; ce sont des souvenirs inédits sur le temps et les conditions où ce livre fut écrit. Mais chaque photographie commente, reproduit en regard d'elle, un passage des Olympiques, que voici une fois de plus rénovées.

Il y a eu, en France et à l'étranger, plusieurs éditions illustrées de cet ouvrage. Aucune d'elles ne pouvait satisfaire l'auteur comme celle dont l'illustration se contente – par de photographies – de réfléchir la réalité. De même qu'un roman ne petit rien faire de mieux que montrer les choses telles qu'elles sont, une image ne peut rien faire de mieux que montrer les choses telles qu'elles sont, en leur donnant seulement assez de marges, je veux dire assez d'isolement pour corriger notre défaut d'attention à ce qui est beau dans la nature. Et l'illustrateur de ce volume, lui aussi, en était à ce point convaincu, qu'il repoussa avec sursaut l'idée de certains « montages » qu'on lui conseillait : sint ut sunt, aut non sint. D'autre part, c'est le cœur amer que j'ai dû renoncer pour la reproduction de ces images, et cela du fait de nécessités matérielles inéluctables, au papier couché, que je prétends plus fidèle à l'objet que le papier mat employé ici. Le treillis des mailles d'un sweater, le duvet d'un avant-bras, le grain grumeleux d'une cuisse (que je devine râpeuse comme la langue d'un chat), la topographie d'un soulier de foot bourbeux, le détail du sable d'un sautoir, sont pour moi choses bien dignes d'être aimées. Et il me semble que le papier mat les absorbe, tandis que le papier couché est comme une vitre à travers quoi la réalité apparaît. 

Dans le même esprit, enfin, Egermeier et moi, nous avons le principe de compositions arrachées et posées, représentant des scènes Olympiques. Les Olympiques comme tissues de traits d'une valeur permanente, il était aisé de faire saisir par l'objectif, sur les stades, des expressions et des attitudes auxquelles des phrases du texte s'adaptaient précisément.

J'écrivais dans la préface de l'édition de 1938 des Olympiques : « De mon livre une fois fermé ne resterait-il qu'un double parfum de fraicheur terrestre et humaine, il suffirait, tout serait très bien ainsi. » C'est ce double parfum qu'Egermeier et moi nous avons voulu faire sortir de l'illustration. Toutefois, nous avons négligé un peu la fraîcheur « terrestre ». Les anciens ont témoigné de l'ennui que leur causait la nature, en disant que les nefs sont l'ornement de la mer, les coursiers l'ornement de la plaine ». Voilà un ennui qui me va comme un gant. Le présent album est donc un catalogue de créatures humaines. 

Comme dans les Olympiques, il ne s'agit pas ici, à quelques exceptions, près, d'athlètes adultes, mais de « juniors » et de « cadets », du molliter juvenis et du viriliter puer (les deux, expressions sont de Pline) auxquels Egermeier, de par sa formation scoute, était d'ailleurs bien préparé.

Comme dans les Olympiques, il ne s'agit pas ici de performance, mais d'atmosphère. Les photos de performances, les publications sportives les donnent. Les auteurs de ce volume, qui ont choisi de reproduire le corps humain lorsqu'il passe par son adolescence, ont choisi aussi de l'y reproduire de préférence dans son repos, et par figures isolées, selon ces deux règles qui gouvernent l'art plastique des anciens : l'économie des figures, et la retenue dans leurs gestes. Les anciens voulaient exprimer toute une action non seulement par une figure unique, mais par une figure unique qui fut calme, comme par respect pour l'état qui seul permet à l'homme d'examiner et de connaître la nature et la propriété des choses ; à la bonne époque, ils avaient horreur des excités. L'essence du sport est mouvement, mais ici, comme dans les Olympiques, c'est un état qui nous a séduits et retenus.

Etrange destinée d'un livre consacré aux plus gracieuses images de la paix et qui, conçu durant l'autre guerre, et nourri d'elle, reparaît durant la guerre nouvelle. Les dernières photographies en ont été prises par Egermeier, mobilisé dans l'armée tchécoslovaque levée en France, au cours d'une permission…

Henry de Montherlant

Bon, les souris ont un peu bouffé les archives de la B.N. mais cet article est un joyau pour les admirateurs de Karel Egermeier. Ce que J. Y. A. a bien compris puisqu'il l'a rendu beaucoup plus lisible. Qu'il en soit chaudement remercié.

 

Je suis contraint de lancer un nouvel appel: s'il se trouve parmi vous, chers visiteurs, des personnes qui ont connu François Sentein contactez moi; votre témoignage est précieux. Merci d'avance.

9 mars 2020

Anthony Goicolea

Anthony Goicolea
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