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Dans les diagonales du temps
31 mars 2020

A propos du tome 12 de Billy Bat

 

A propos du tome 12 de Billy Bat

 

 

Si vous lisez ma rubrique « lectures » sise dans le chapitre « Livre » vous devez savoir que je lis la série de mangas Billy Bat à laquelle j'ai consacré un billet jadis qui ne prenait en compte que les premiers tome de ce manga du a Naoki Urasawa pour le dessin et qui se fait aider pour le scénario par Takashi Nagasaki.

L'histoire est à peu près inrésumable mais pour ce qui va suivre, il faut que vous sachiez que dans ce récit fleuve le monde (un univers parallèle au notre) est dirigé à travers les siècles par une secte dont les agissements lui sont dictés par l'apparition d'un dessin de chauve-souri. Habilement dissimulé dans ce manga du à des auteurs très talentueux, Urasawa est l'un des plus célèbres mangakas actuels, c'est en somme la bonne vieille théorie du complot. Je résume l'Histoire du monde est entre les mains d'un tout petit groupe d'individus qui se perpétue depuis l'antiquité. Il me semble qu'il n'est anodin de signaler que Billy Bat véhicule la nocive théorie du complot quand on sait quel copieux tirage atteint chaque tome dans le monde et particulièrement en France.

Le tome XII de la série est particulièrement ébouriffant et je suis très surpris de n'avoir encore enregistré de réactions au pays où la dictature du politiquement correct règne sans partage. Dans cette dernière livraison il est fait une grande place à l'un des personnages principaux: Chuck Culkin. Ce dernier est le clone transparent de Walt Disney. Il a gagné une fortune considérable en dessinant (ou plutôt en faisant dessiner) un personnage de chauve-souri appelé Billy Bat. Je vous passe sous silence les 4/5 de l'histoire qui nous entraine du Japon à l'Amérique en passant par le Moyen-Orient et l'Allemagne de l'antiquité à l'époque moderne. Mais venons en au contenu spécifique de ce tome XII.

Alors que rien ne l'annonçait apparaît au milieu du volume et du récit Adolf Hitler. Un Adolf qui a l'air assez brave homme. Un artiste frustré qui aurait bien mieux aimé manier le pinceau de martre que d'être dictateur.

Notre furher bonhomme sauve d'un peloton d'exécution un homme. Ce dernier avant d'être envoyé devant ses fusilleurs a choisi parmi les images qu'on lui montrait la représentation d'une chauve-souri.

Ignorant des us et coutumes du Reich qui faillit être millénaire, je suis tout de même resté baba en apprenant qu'avant d'exécuter des juifs les nazis leurs faisaient passer le test des taches d'encre...

Or donc voilà notre miraculé invité par Hitler en personne (Je vous rappelle que son invité est juif et que son hôte n'est pas connu comme un philo-sémite.) et qui plus est lui montre sa galerie de tableaux personnelle uniquement composée de ses propres oeuvres. Notre juif s'extasie devant de si beaux paysages. L'artiste a presque la larme à l'oeil en entendant ces compliments. L'artiste confie à son nouvel admirateur toute son amertume d'avoir été recalé au concours des Beaux Arts alors qu'Egon Shiele a été reçu!

Adolf fait une proposition à notre juif, une de celles que l'on ne refuse pas: << Vous allez vous installer en Amérique et oeuvrer à propager cette figure de chauve-souri. >> ( Je suis content d'apprendre qu'Hitler aimait les chauves-souris d'abord cela nous fait un point commun et puis accessoirement si je le rejoins dans le grand chaudron cela nous fera un sujet de conversation.) << Cette chauve-souri fera de vous un homme richissime. Je vous le garantis. Faites de la bande-dessinée. Lancez vous même dans le film d'animation c'est dans l'air du temps.>>. Sur ce Adolf procure à son admirateur obligé des papiers d'identité américains. Et pour finir Hitler lance à son protégé: << J'ai observé de nombreux hommes d'affaires juifs à l'oeuvre. Leur capacité intellectuelles sont limitées mais ce sont d'habiles entrepreneurs.>>.

Je résume dans un monde parallèle au notre Walt Disney est en fait un juif d'Europe de l'Est qui a reçu des consignes d'Hitler pour envahir le monde avec les dessins de son personnages.

Je me demande à quel Saké carburent Urasawa et son acolyte mais lors de mon prochain voyage au Japon je m'en tape une caisse et en me bottant le fion dans deux ans le Goncourt est pour moi et le Nobel pour bientôt. Question imagination Dumas fera figure de nain.

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31 mars 2020

Gerald et Sara Murphy

 

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Gerald et Sara Murphy étaient un couple de beaux et riche expatriés américains. Charmant ils ont eu le désir de montré au monde comment faire pour que la vie soit un moment royal. 

Gerald, issu de la riche famille qui possédait Mark Cross maroquinier de luxe et Sara Wiborg, sa femme était également issue d'une riche famille. Ils connaissait tout le monde : Cole Porter *, Hemingway, Francis Scott Fitzgerald (qui les a mis en scène dans "tendre est la nuit"), Jean Cocteau, Man Ray, Dorothy Parker *, John O'Hara, Robert Benchley... 

En 1921, principalement pour échapper à la réprobation par leur famille de leur mariage, ils ont déménagé à Paris, où Gerald reprit de peinture. Il a  commencé par ensembles de peintures pour Diaghilev et ses Ballets Russes, tout en étudiant la peinture avec sérieux. Ses tableaux ont créé la sensation au 1924 Salon des Indépendants. Les natures mortes de Gerald Murphy tranchaient sur les autres exposants par leur cubiste précisionniste, préfigurant le style Pop Art qui a produit des images d'objets banals tirés de produits commerciaux américains. Aujourd'hui les travaux de Gerald Murphy sont accroché dans des musées prestigieux, tels que le MMA et Whitney (NYC), et une grande rétrospective  lui a été consacrée en 2007.

Ci-dessous la peinture Boatdeck, de Gérald Murphy installé au Salon des Indépendants, au Grand Palais à Paris en 1924. malheureusement, la peinture, qui représente les cheminées géantes d'un paquebot, a depuis disparu.
 


Gerald Murphy était un homosexuel refoulé. Il appelait son penchant son « défaut » dans une lettre de 1931 à Archibald MacLeish, il écrit que toute sa vie d'adolescent avait été qu'un "processus de dissimulation des réalités personnelles". Sara connaissait Gerald depuis onze ans avant qu'ils se marient, elle a semblé prendre comme une composante de la personnalité de son mari son attirance avoué pour les hommes. Archibald MacLeish s'est inspiré du couple pour les personnages principaux de sa pièce J.B. Gerald et Sara Murphy se retouve aussi dans "Le jardin d'Eden" d'Hemingway 

En 1923, pour célébrer la première du ballet de Stravinsky "Les Noces," Gerald et Sara ont organisé "une partie" géante toute la nuit sur une péniche sur la Seine à Paris. La même année, Gerald et Cole Porter ont collaboré pour un succès tapageur, le ballet jazz, "du contingent," un burlesque sur la culture américaine.

 

En 1923 les Murphys ont convaincu l' Hôtel du Cap d'Antibes de rester ouvert toute l'année, afin qu'ils puissent recevoir leurs amis, et faire de cet l'établissement de la Côte d'Azur un havre de paix à la mode l'été. Avant cette période les riches n'affluaient là uniquement pour la saison d'hiver. Ils ont aussi introduit de se bronzer sur la plage comme une activité à la mode. Sara stupéfiait ses invités en portant ses perles à la plage, et Gerald portait des chemise rayée horizontalement de marque, des shorts et des sandales.

Les Murphys ont acheté une villa à Cap d'Antibes, à mi-chemin entre Nice et Cannes et la baptisèrent Amérique Villa*. Ils y ont résidé pendant de nombreuses années. Ils ont impressionné Picasso qui peint Sara dans plusieurs de ses tableaux de 1923 et inspiré de Coco Chanel. Plus important encore, ils ont introduit le style américain. Ils ont fait de leur vie un objet d'art. En fin de compte, ils sont devenus de mythe.

Mais une tragédie les frappe, la mort précoce de leurs deux fils, leur fille, elle atteindra un âge respectable. Après que la dépression eu frappé, Gerald retourne en Amérique pour reprendre les affaires familiales, en tant que président de la société Mark Cross de 1934 à 1956. Il a abandonné complètement la peinture complètement, et a vécu à Snedens sur l'Hudson au nord de NYC et à East Hampton, NY et travaillé pendant des décennies dans le quartier de midtown à Manhattan. Gerald est décédé en 1964 à East Hampton, et Sara est morte en 1975 à Arlington, en Virginie.

Un nu: Gerald Murphy en 1925, adossé à la voile de la Picaflor, photographié par Man Ray.Musée National d'Art Moderne, Centre Georges Pompidou, Paris.

 


Guêpe et poire, 1929. Museum of Modern Art (NYC).



*Cole Porter a été camarade de classe de Gerald à Yale.

*Dorothy Parker s'était vue refuser l'entrée au Casino de Monte Carlo parce qu'elle ne portait pas de bas. « Je suis allé pour récupérer mes bas et puis revint à perdre ma chemise. »

*Villa Amérique a depuis lors été démolie et remplacée par une autre villa. L'adresse est 112, Chemin des Mougins.

 

31 mars 2020

Les scouts vus par Walthéry

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Les scouts vus par Walthéry
Les scouts vus par Walthéry
Les scouts vus par Walthéry
Les scouts vus par Walthéry
Les scouts vus par Walthéry
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Les scouts vus par Walthéry
Les scouts vus par Walthéry
Les scouts vus par Walthéry
Les scouts vus par Walthéry
31 mars 2020

Pete Bridgstock

 

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31 mars 2020

14 de Jean Echenoz

  

  

  

Avant toutes considérations, il faut dire qu'avec 14 de Jean Echenoz on retrouve un plaisir, de plus en plus rare aujourd'hui, celui du texte. On lit une prose concise élégante et o combien évocatrice. La qualité exceptionnelle de la langue devient même parfois un défaut, quand, pour le lecteur, le bonheur de la trouvaille langagière éclipse le récit à la trame pourtant serrée; que l'on en juge par le pitch se trouvant sur le quatrième de couverture et que je recopie intégralement conscient d'être incapable de faire mieux: << Cinq hommes sont partis à la guerre, une femme attend le retour de deux d'entre eux. Reste à savoir s'ils vont revenir. Quand. Et en quel état.>>. L'efficacité et l'économie de texte est à l'image d'un roman qui suit les destinées de cinq hommes au front et d'une femme à l'arrière qui les attend, dans les premiers mois de la guerre de 14, le tout en 123 pages! En regard du sujet et de la longueur du texte, il est difficile de considérer 14 autrement que comme un exercice de style, certes réussi. Il serait d'ailleurs dommage d'entendre un ton de reproche à ce qualificatif d'exercice de style. Si on se retourne sur l'oeuvre d'Echenoz on peut la considérer comme une suite d'exercices de style, de contournements de genres, d'abord celui du roman policier, puis du récit d'aventure teinté d'espionnage pour continuer par la biographie et enfin aujourd'hui avec 14 voilà qu'il affronte le roman de guerre. Il faut être particulièrement couillu pour s'attaquer à ce type de livre surtout en l'inscrivant dans la Grande Guerre. Les récits des combats de 14-18 et leurs alentours ont accouché de grands livres et même de quelque chefs d'oeuvre, certains contemporains à la tuerie comme "Le feu" de Barbuse où publiés très peu de temps après la fin du conflit comme, « Ceux de 14 » de Genevoix, « Les croix de bois » de Roland Dorgeles ou encore récemment tel "Un long dimanche de fiançailles de Japrisot et "En l'absence des hommes" de Philippe Besson pour n'en citer que quelques uns et en se limitant à la France.

Comme vous l'avez sans doute remarqué si vous lisez mes billets consacrés aux livres et aux films, je suis obsédé par les anachronismes et si je n'en ai pas trouvé de flagrants, j'ai tout de même tiqué au tout début du roman à la description de la promenade en vélo du héros principal. Elle m'a plus évoquée l'avant guerre suivante que celle de 14. Deux expressions m'ont gêné d'abord « en danseuse », je ne sais pas pourquoi, je ne vois pas en 1914 un cycliste monter une petite côte en danseuse mais plutôt le fessier bien posé sur la selle de son vélocipède, mais surtout, c'est roue libre qui m'a surpris. Lorsque j'ai appris à pédaler mon grand père me contait ses déboires avec le pignon fixe qui lui avait valu de se ratatiner moult fois sur les routes de la Brie, vers 1912, alors qu'elles n'étaient pas encore bitumées. Le pignon fixe étant système avec lequel il est impossible de s'arrêter de pédaler sans bloquer les roues ce qui avait pour résultat un freinage brusque et le risque pour le cycliste de passer par dessus son guidon et de prendre une sévère gamelle d'ou l'intérêt de l'invention de la roue libre. Invention due à Jean Fasano (1848-1924) (tous les vélocipédistes devraient avoir au moins une pensée quotidienne pour ce bienfaiteur de l'humanité) et ceci en 1897; d'où ma surprise, mais ce n'est pas impossible que le vélo d'Anthime (un prénom aussi bizarroïde doit avoir une signification aussi profonde que cachée mais je ne l'ai pas trouvée) soit équipée de la dite roue libre, d'autant qu'il roule sur une bécane de seconde main, ayant appartenu précédemment à un ecclésiastique ayant du céder sa monture à notre jeune homme pour cause de goutte. Ce qui induirait chez ce curé vendéen un avant gardisme en matière de mécanique vélocipédique qui vous l'admettrez est assez rare chez le clergé. Long développement pour mettre le doigt sur un défaut de l'auteur qui, il me semble se laisser entrainer par l'envie d'écrire la belle page, ce qui parfois lui fait oublier le prosaïsme (quand ce n'est pas l'horreur) de ce qu'il raconte. 

Il suffit de quelques mots a Echenoz pour croquer ses personnages, c'est là son grand talent. Il se donne même le luxe de l'humour dans les moments les plus tragique et ce n'est jamais obscène, seulement drolatique.

Autre contraste celui du présent de la narration et de l'auteur qui en deus ex machina connait la suite de l'histoire et de l'Histoire. Il nous le rappelle en courtes interpellations au lecteur.

Cet Echenoz là, dont il faut se forcer à ralentir la lecture, car on est pressé de connaître le devenir de chacun des personnages, pour bien en apprécier le style précis et ironique marche sur les brisées de Marcel Aymé.  

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31 mars 2020

Emil Nolde au Grand Palais

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Paris, septembre 2008

31 mars 2020

La maison du bon docteur

Il y a quelques jours le supplément du Monde, M, a publié un article sur Lucette Destouche et sa maison. Il y a quelques moi Bruno avait photographié la résidence de la vieille dame et la boite aux lettres où est mentionné le nom de son peroquet qui a été adopté après le décès de sa maitresse...

 

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Lucette Destouches

 

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La maison après l'incendie de 1968 

 

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31 mars 2020

Yves Chaland, le lecteur de B.D.

 

Yves Chaland, à la demande des éditions Rombaldi avait fait, en 1986, un portrait du lecteur de BD qu'il modifia légèrement pour l'album collectif "la bande à Renaud" publié la même année

Yves Chaland, à la demande des éditions Rombaldi avait fait, en 1986, un portrait du lecteur de BD qu'il modifia légèrement pour l'album collectif "la bande à Renaud" publié la même année

Yves Chaland, le lecteur de B.D.
31 mars 2020

Un pays pluri-ethnique

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Pierre Gripari

 

Nous ne devons pas nous laisser coloniser, à aucun prix. Un pays pluri-ethnique, c’est toujours un pays raciste, un pays où la guerre raciale sévit en permanence.

Pierre Gripari

31 mars 2020

Pellos, Les Pieds Nickelés et le vélo

 

Pellos, Les Pieds Nickelés et le vélo

Les Pieds Nickelés est une Bande Dessinée qui a été créée en 1908 dans " L'Épatant " par Louis Forton. Elle a été reprise de 1936 à 1938 par Aristide Perré et en 1940 par Badert. De 1948 à 1981 c'est l'inoubliable Pellos qui les inscrivit définitivement dans la grande Histoire de la bande dessinée. Il consacrera presque 100 albums au trio infernal.

Les Pieds Nickelés sont indissociables de mon enfance. Mon grand père qui lisait l'Epatant dans son enfance par nostalgie m'achetait facilement les albums dessinés par Pellos. Ils n'étaient pas trop cher car c'étaient des fascicules souple comme les petits formats Blek, Pepito, Foxy et Croa et consort contrairement aux albums de Tintin ou d'Alix pour avoir ceux la il fallait attende noel, mon anniversaire ou décrocher un Tableau d'honneur. L'achat des Pieds Nickelé, presque hebdomadaire se faisait le dimanche sur le marché de La Varenne où un libraire qui arborait sur son pif une fraise copieuse (nous le surnommions "Boit de l'eau) vendait en plus de livres d'occasion quelques bandes dessinées, il y avait aussi des Bibi fricotin et Oscar le petit canard (avec la tante Zulma) et des livres pour adolescent. C'est chez lui que je découvris mes premiers Bob Morane  Or donc en plus du Mickey, Tintin et Spirou hebdomadaire, qui seront bientôt suivi par Pilote je biberonnais aux Pieds Nickelés. Comment voulez-vous ne pas mal tourner.

Il se trouve que dans ces années là, avant ma dixième, je me passionnais por le vélo et en particulier le tour de France. Je me souviens des lectures passionnés du Miroir des sport et de Miroir sprint sur la plage de La Baule. Pendant le tour Miroir Sprint paraissait deux fois par semaine une fois il était marron bistre l'autre fois verdâtre. Dans ces journaux j'avais vite repéré les caricatures de Pellos et m'étais immédiatement aperçu que c'était le même dessinateur que mes chers Pieds Nickelés. Je crois que Pellos a été le premier dessinateur dont j'ai su le nom... 

 

Pellos, de son vrai nom René Pellarin ( né le 22 janvier 1900 à Lyon et décédé le 8 Avril 1998 à Cannes ) était aussi un passionné de courses cyclistes et surtout du  Tour de France

Pellos, de son vrai nom René Pellarin ( né le 22 janvier 1900 à Lyon et décédé le 8 Avril 1998 à Cannes ) était aussi un passionné de courses cyclistes et surtout du Tour de France

Pendant plus d'un demi-siècle, de 1931 à 1982, pour Match l'Intransigeant , Miroir-Sprint puis pour le Miroir du Cyclisme, il immortalisera tous les grands évènements de la course cycliste la plus connue au monde.  Voici quelques uns de ses dessins

Pendant plus d'un demi-siècle, de 1931 à 1982, pour Match l'Intransigeant , Miroir-Sprint puis pour le Miroir du Cyclisme, il immortalisera tous les grands évènements de la course cycliste la plus connue au monde. Voici quelques uns de ses dessins

Koblet, Bartali, Geminiani et surtout Fausto Coppi et Louison Bobet

Koblet, Bartali, Geminiani et surtout Fausto Coppi et Louison Bobet

1961: Fin du vrai Tour de France et début des tracés improbables

1961: Fin du vrai Tour de France et début des tracés improbables

1962: La fin des équipes nationales remplacées par des équipes de marques

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1966: Le grand duel Jacques Anquetil - Raymond Poulidor

1966: Le grand duel Jacques Anquetil - Raymond Poulidor

1967: Roger Pingeon de l'équipe Peugeot gagne le Tour de France et René Pellos, pudiquement, oublie la mort de Tom Simpsons.

1967: Roger Pingeon de l'équipe Peugeot gagne le Tour de France et René Pellos, pudiquement, oublie la mort de Tom Simpsons.

1975: La promesse d'un autre duel Raymond Poulidor - Eddy Merckx...

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mais un Tour qui finalement sera gagné par Bernard Thévenet de l'équipe Peugeot

mais un Tour qui finalement sera gagné par Bernard Thévenet de l'équipe Peugeot

1980: La lutte pour la relève entre Maertens et Hinault

1980: La lutte pour la relève entre Maertens et Hinault

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