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Dans les diagonales du temps
7 avril 2020

Jean Philippe Guillemain

 







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7 avril 2020

Marché de gros aux poissons près de Colombo

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Sri-Lanka, mars 2018

7 avril 2020

de jolis manifestants

de jolis manifestants

Je ne me souviens guère du pourquoi de cette manifestation. Je crois que la fréquence d'une radio avait été suprimée sans doute la Radio 7 des auto-collants, radio dont je ne me souviens plus du tout...

de jolis manifestants
de jolis manifestants
de jolis manifestants
de jolis manifestants
de jolis manifestants
de jolis manifestants
de jolis manifestants
de jolis manifestants
Paris, février 1987

Paris, février 1987

 

7 avril 2020

La citerne de Yerebatan à Istanbul

La citerne de Yerebatan à Istanbul
La citerne de Yerebatan à Istanbul

En plein centre historique d'Istanbul, cette citerne est le plus majestueux vestige antique de la ville. Elle fut construite au milieu du VI ème siècle. Elle était alimentée par l'aqueduc construit par Hadrien. Elle était en mesure de combler les besoins en eau du palais impériale et de sainte Sophie toute proche. Elle avait une capacité de 80 000 m3. Aujourd'hui on peut voir 336 colonnes de 8 mètres de haut réparties en 12 rangées de 28, disposées à 4 mètre l'une de l'autre. On peut penser à certains détails que certaines proviennent de bâtiments plus anciens. Aujourd'hui il y a quelques dizaines de centimètres d'eau dans laquelle nagent des poissons.

 

La citerne de Yerebatan à Istanbul
La citerne de Yerebatan à Istanbul
La citerne de Yerebatan à Istanbul
La citerne de Yerebatan à Istanbul
Ces têtes de méduse sont d'époque romaine. Elles proviennent d'un monument antique d'Istanbul et ont été réutilisées pour servir de socle à des colonnes

Ces têtes de méduse sont d'époque romaine. Elles proviennent d'un monument antique d'Istanbul et ont été réutilisées pour servir de socle à des colonnes

La citerne de Yerebatan à Istanbul
La citerne de Yerebatan à Istanbul
Istanbul, février 2015

Istanbul, février 2015

 

7 avril 2020

Anton Kolig (1886-1950)

 

mrsramseysshawl: Anton Kolig (1886, Neutitschein — 1950, Nötsch im Gailtal), Sitzender Jüngling (Am Morgen) [Seated young man (in the morning)], 1919

 

 

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Homme blessé, 1917

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7 avril 2020

Une plongée dans les archives d'Egermeier (7)

 

Une plongée dans les archives d'Egermeier (7)
Une plongée dans les archives d'Egermeier (7)
Une plongée dans les archives d'Egermeier (7)
Une plongée dans les archives d'Egermeier (7)
Une plongée dans les archives d'Egermeier (7)
Une plongée dans les archives d'Egermeier (7)
Une plongée dans les archives d'Egermeier (7)
Une plongée dans les archives d'Egermeier (7)
Une plongée dans les archives d'Egermeier (7)
Une plongée dans les archives d'Egermeier (7)
Une plongée dans les archives d'Egermeier (7)
Une plongée dans les archives d'Egermeier (7)
Une plongée dans les archives d'Egermeier (7)
Une plongée dans les archives d'Egermeier (7)
Une plongée dans les archives d'Egermeier (7)
Une plongée dans les archives d'Egermeier (7)
Une plongée dans les archives d'Egermeier (7)
Une plongée dans les archives d'Egermeier (7)
Une plongée dans les archives d'Egermeier (7)
Une plongée dans les archives d'Egermeier (7)
pochette transparente dans laquelle Egermeier rangeait ses négatif souvent un par un mais ici exceptionnellement il en avait mis 3

pochette transparente dans laquelle Egermeier rangeait ses négatif souvent un par un mais ici exceptionnellement il en avait mis 3

Je réitère mon appel. Si vous avez des informations sur Karel Egermeier soyez assez aimable pour me les communiquer. Rêvons un peu, si vous vous reconnaissez sur ces photos ou reconnaissez quelqu'un de votre connaissance, si vous avez une idée sur les lieux et la datation éventuelle des photos ci-dessus n'hésitez pas à m'en faire part.

 

7 avril 2020

Henrik Stefán, Le bon samaritain

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le-desir-de-lautre: Henrik Stefán (Hungarian, 1896-1971), The Good Samaritan, c. 1920. Oil on canvas, 110,2 x 96,5 cm, Hungarian National Gallery, Budapest.

 

 

Henrik Stefán (Hungarian, 1896-1971), The Good Samaritan. 1920. Oil on canvas, 110,2 x 96,5 cm, Hungarian National Gallery, Budapest.

7 avril 2020

La montagne de feu d'Alfred Coppel

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Tout lecteur de « La montagne de feu » doit avoir une date en mémoire celle du 6 aout 1945 qui vit les américains lancer leurs bombes atomiques sur Hiroshima et Nagasaki. Dans le roman d'Alfred Coppel (1921-2004), le 16 juillet 1945 un violent orage détruit la bombe atomique américaine lors de son ultime essai avant son utilisation. C'est cette date du 16 juillet 1945 qui est la date de divergence avec l'histoire que nous connaissons.

La dédicace de l'ouvrage: << Aux milliers d'habitants d'hiroshima et de Nagasaki qui ont perdu la vie à la place des millions d'hommes et de femmes qui auraient trouvé la mort au court de l'opération Coronet.>> doit alerter le lecteur sur ce qu'il va lire car elle justifie ce qu'a toujours mis en avant le pouvoir américain que l'utilisation de l'arme nucléaire en faisant abréger la guerre aurait économisé de nombreuses vies. Le roman est paru aux Etats-Unis en 1982 et en France, aux éditions Mazarine en 1984.

Tout l'art du romancier uchronique est de donner chair à son alternative historique. Pour cela le choix de héros imaginaires et souvent des sans grade de l'Histoire, aide grandement à la crédibilité de l'entreprise. Car il est extrêmement difficile de faire parler dans un roman des figures célèbres de l'Histoire mais par exemple Philip Kerr y parvient très bien. C'est donc le choix de prendre pour héros des personnages sortis de son imagination, même si l'on voit passer Truman, McArthur et quelques autres figures historiques qu'a embrassé Alfred Coppel. On suit tour à tour des combattants américains et japonais. L'auteur nous immerge alternativement dans les deux camps antagonistes où nous découvrons des caractères très différents.

La bonne idée de Coppel a été de choisir parmi ses personnages principaux américains deux militaires ayant de fortes attaches avec le Japon.

On partage le quotidien de cette guerre aussi bien avec des soldats du rang qu'avec des officiers, on est tantôt dans les airs avec des kamikazes, tantôt sur la mer dans les navires américains à moins que ce soit dans une casemate où des soldats nippons sont abandonnés face à l'armada américaine.

L'auteur alterne « des plans larges » dans lesquels il explique clairement les stratégies militaires de part et d'autre et « les gros plans » qui nous font partager l'intimité de différents soldats.

Coppel parvient a bien exposer la fracture qui existait dans la classe dirigeante japonaise entre ceux qui désiraient arrêter la guerre et ceux qui voulais que chaque japonais se batte jusqu'à la mort.

Si ce livre est ouvert par un lecteur ignorant tout du dénouement de la seconde guerre mondiale dans le Pacifique, il aura le sentiment de lire un excellent roman de guerre tenant à la fois de « Mer cruelle », de « La 13 ème vallée » et du « Grand cirque », ce qui n'est pas rien. A propos de ce dernier livre, les rapports avec « La montagne de feu » ne sont pas entièrement fortuits, puisque Alfred Coppel, de son nom complet Alfredo Jose de Arana-Marini Coppel,a été pilote de combat (tout comme Pierre Closterman) dans l'US Air Force durant la seconde guerre mondiale, ce qui explique l'impression de vécu de nombreuses pages du roman.

Après sa démobilisation, Coppel a entamé une carrière d'écrivain, devenant un auteur prolifique pour les pulps (sa première histoire de science fiction était « L'âge de la déraison » paraît en 1947 dans Amazing Stories) dans les années 50 et 60. Il a écrit sous les pseudonymes de Robert Cham Gilman et de A.C. Marin. Romancier prolifique Il a écrit des récits policiers, d'action et de science-fiction (romans et nouvelles). A ma connaissance « La montagne de feu » semble être son seul roman traduit en français; ce qui est bien dommage si ses autres ouvrages sont de la qualité de celui-ci.

Tout comme dans l'autre formidable uchronie sur la guerre du Pacifique, le manga Zipang de Kawaguchi, on en apprend beaucoup sur ce conflit dans « La montagne de feu ».

Coppel qui semble aussi bien connaître la civilisation japonaise que l'américaine a tout de même tendance à caricaturer la psychologie nationale des deux pays. En revanche il montre très bien les ravages fait dans les esprits par la propagande de part et d'autre. Il nous fait entrer dans l'esprit de ces japonais pour qui se sacrifier pour l'empereur était leur devoir (deux mangas remarquable traitent de ces soldats suicides: Tsubasa et L'ile des téméraires). On voit également l'absurdité de ce sacrifice sur le plan militaire. Il nous décrit aussi des soldat japonais assez loin de cette totale abnégation, un peu comme nous le montre Mizuki dans son manga autobiographique « Opération mort »/ Le pacifisme de l'auteur le conduit à ce que nombre de ses personnages connaissent des morts particulièrement absurdes.

L'écriture très vive et précise fait que l'on s'attache à tous les personnages, qui pourtant pour certains apparaissant que d'une façon éphémère, alors que nous en retrouvons d'autres plusieurs fois.

Le roman repose sur une connaissance historique sans faille. Coppel s'appuie sur les archives nationales américaines car si l'opération Coronet n'a jamais été mis en oeuvre, rendue inutile par la reddition des japonais, elle existe néanmoins sous la forme d'études d'état major, de même que la défense Ketsu-go des japonais face à une invasion virtuelle se trouve dans les archives de guerre du gouvernement japonais.

Le livre a été soigneusement édité. Il bénéficie d'une bonne traduction de Françoise et Guy Casaril, d'un glossaire de termes japonais et d'une bibliographie. Il manque juste une carte de la région où a (aurait) eu lieu le débarquement américain au Japon.

La prochaine fois que je me rendrais au sanctuaire Yasukuni où se rassemble selon la tradition, les esprits des guerriers morts honorablement au service du Japon, je serai encore un peu plus ému que la dernière fois.

Ceux qui ont vu le magnifique film de Clint Eastwood, « Lettre d'Iwo Jima » retrouveront avec le roman de Coppel une approche semblable face à la guerre et à la mentalité japonaise.

En parvenant magistralement à humaniser son uchronie Alfred Coppel, il ose même une émouvante romance à la madame Butterfly, a réussi un des chefs d'oeuvre du genre à mettre aux cotés de « Pavane » et des « Iles du soleil »

  

Nota: Il y a d'autres romans sur ce même thème, mais je ne les ai pas lu et ne sont pas traduit en français, telStorming Paradise, par Chuck Dixon (2009): la première bombe atomique au Trinity College a explosé prématurément, tuant d'éminents physiciens nucléaires tel que Robert Oppenheimer. Cela force le président Truman a lancer l'invasion sanglante alliée du Japon dans l'opération Downfall. On peut encore citer « Macarthur's War par Douglas Niles and Michael Dobson, Lighter than a Feather par David Westheimer (1971), The Bomb That Failed (British, The Last Year of the Old World) by Ronald W. Clark (1969) et 1945 by Robert Conroy (2007). A l'inverse quelques livres montrent le Japon vainqueur comme dans le célèbre « Maitre du haut château » de Dick ou « The Bush Soldiers » by John Hooker dans lequel les japonais ont investi l'Australie.

7 avril 2020

Goodvin Nerko

 

Goodvin Nerko
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Goodvin Nerko
Goodvin Nerko
Goodvin Nerko
7 avril 2020

swimming boys

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