George Condo est pour moi un peu le Clovis Trouille de ce début du XXI ème siècle mais comme il est américain, il connait une fortune sans commune mesure avec celle de la carrière du français...
Quelques autres tableaux de l'artiste qui n'étaient pas dans l'exposition:
Pour retrouver George Condo sur le blog:
Nenette la doyenne mondiale des orang-outang
On peut aller voir le billet que j'ai consacré à Nenette:
NENETTE
Paris, aout 2020
Pour retrouver le jardin des plantes sur le blog:
La colline de Philopappos est un parc au coeur d'Athènes. Elle culmine à 147 mètres d'altitude. Le chemin qui mène au sommet de la colline est magnifique parce qu'il passe directement par l'intérieur du parc ; une série d'oliviers et d'arbustes épais et bas limite la rue pavée de marbre, qui mène d'abord à l'église d'Agios Dimitrios Loumbardiaris, puis se divise en sentiers, un menant au Pnyx et un chemin menant au sommet où se trouve le monument funéraire bâti en l’honneur du consul romain Julius Antiochus Philopappos en 114-116 . Du sommet on a une vue panoramique sur Athènes et aussi sur l'Acropole.
la colline de Philopappos vue de l'Acropole
monument funéraire de Julius Antiochus Philopappos vu de l'Acropole.
monument funéraire de Julius Antiochus Philopappos
En redescendant on passe par la prison de Socrate. Elle est sur le côté est de la colline de Philopappos il y a deux grottes creusées dans la roche et connue comme la prison de Socrates. En réalité ce sont les restes d’une résidence du IV ème siècle avant JC qui à tort a été identifiée comme le lieu où le condamné a été maintenu le condamné à mort, Socrates, et là où il parlait avant son exécution avec son ami Criton. Pendant la Seconde Guerre mondiale, les grottes ont été couvertes d’un mur de protection en béton pour être utilisés comme une crypte pour les antiquités du Musée archéologique national.
Athènes, juillet 2020
Kyoto, avril 2010
Le jardin du Ryoan ji: quatre siècles d'excellentes références. Plusieurs empereurs en ont éprouvé de la satisfaction. Seuls des gens recommandables y ont travaillé. Chaque pierre choisie avec un soin morose par des experts dont le nom est conservé. Même le petit portail de bambou qu'on distingue à peine, dans les communs du temple, n'a pas été fait au hasard, mais longuement cuisiné par un spécialiste du bambou qui avait trente ans d'affres et d'expérience, et si vous voulez sa généalogie, vous l'aurez. Toutes les garanties sont fournie et vous ne trouverez personne, sauf les vauriens connus de la police, qui songe une seconde à mettre le ryoan Ji en question. Les japonais ne peuvent qu'admirer, ils n'ont pas le choix. C'est pour cela sans doute qu'ils ont l'air tellement emmerdés. Et c'est dommage, car le jardin est vraiment beau.
Nicolas Bouvier, Le vide et le plein
C'était une très bonne idée de confronter l'oeuvre de Canova avec la statuaire antique, malheureusement l'exposition est assez paresseuse et a été réalisée à minima.
Naples, avril 2019
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