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Dans les diagonales du temps
17 mars 2020

Carolin Jackson

Carolin Jackson
 


 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

 
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17 mars 2020

un inédit de Montherlant: La semaine sainte à Séville

 

De 1925 à 1940 Montherlant va donner de nombreux articles à différents journaux, notamment à l'Intransigeant (de mai 1924 à aout 1939), comme celui-ci qui y est paru le 16 avril 1925. Montherlant vient de faire publier "Les Olympiques". Le livre lui apporte la notoriété publique et critique. Au début de 1925, il vend les biens familiaux dont il a hérité et part en voyage pour dix ans autour de la Méditerranée. De ses différentes étapes il envoie à la presse des billets de choses vues, dans le style de son "Carnet parisien" et des récits de voyages de Paul Morand. Se constitue ainsi un véritable carnet de voyage. Ces texte n'ont curieusement jamais été repris en volume (qu'attend Gallimard pour en faire un beau deuxième tome d'Essais en Pleiade!).

Je peux vous offrir cet extrait, qui je l'espère sera suivi par de nombreux autres, grâce au travail de bénédictin de B., que je remercie chaudement, qui, à la Bibliothèque Nationale, les a collectés et photographiés. 

 

un inédit de Montherlant: La semaine sainte à Séville
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un inédit de Montherlant: La semaine sainte à Séville

 

17 mars 2020

pour se souvenir des Diablogues de Roland Dubillard au Théâtre du Rond-Point

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J’étais à la fois très excité et un peu inquiet en me rendant une nouvelle fois au beau théâtre du Rond-point pour voir les Diablogues. Excité car je n’avais encore jamais vu sur scène un de mes acteurs préférés, Jacques Gamblin. Je n’avais pas plus vu jouer son compère François Morel. Mais mon inquiétude venant que mes souvenirs du Décablogue étaient à la fois excellents et lointains. Pas aussi ancien tout de même de ce qui furent les prémices du spectacle, “Les dialogues de Grégoire et Amédée”, une pièce radiophonique dont l’auteur, Roland Dubillard , était un des deux interprètes; on a pu l’entendre sur les ondes nationales au début des années cinquante et la réentendre partiellement, ce fut mon cas, sur France-Culture, il y a déjà de nombreuses années. En outre j’avais déjà vu une précédente mouture du spectacle interprétée par Roland Dubillard et Jacques Seiler dont bien d’anciens téléspectateurs se souviennent comme étant l’interprète du bras droit de Vidocq, un feuilleton du samedi soir dont adolescent je faisais mes délices. Il y a for longtemps, je ne sais plus exactement quand et encore moins dans quel théâtre parisien. Mais j’en avais gardé un bon souvenir, en particulier du sketch du compte goutte qui tantôt pousse les gouttes et tantôt les tire. Je craignais donc d’être un peu déçu par de si anciennes retrouvailles.



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Il n’en a rien été. Pourtant ma crainte fut confirmé lorsque je rentrais dans la belle salle Renaud-Barault au plateau trop vaste pour une chose aussi intimiste. Mais toutes mes craintes se dissipèrent dès la première séquence, je fus conquis dès la première minute d’une partie de ping pong sans balle ni raquette où les deux joueur bekecttiens à la mise soignée son assis dans de cosi fauteuil club cela tient plus de Tati que d’Antonioni mais c’est bien toutefois un mélange de Blow-up et des vacances de monsieur Hulot sous l’ égide du théâtre de l’absurde.
Il ne faut pas chercher dans ses échanges hilarants un quelconque ancrage psychologique ou sociologique pas plus qu’historique. Les deux compère sont comme en suspension dans le temps et l’espace impression renforcé par le décor puisqu’ils jouent devant une carte façon Palais de la découverte qui réussi à nous faire oublier la vastitude du plateau.



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Les deux acteurs restent dans leur registre familier et sont épatants. Il faut dire qu’ils se sont choisis. Lorsque le projet est proposé à François Morel, il pense aussitôt à Gamblin. Et si ce dernier finit par accepter, c’est qu’il se réjouit de pouvoir jouer avec Morel ce numéro de “clowns musicaux”. François morel campe un quidam madré, à qui on ne la fait pas, et qui rappelle sont personnage des Deschiens quant à Gamblin, il joue à merveille de l’égotiste élégant énervé. Et pour rompre la mécanique, dans un sketch, ils échangent leurs rôles, du grand art. Et puis comment manquer une soirée où l’on vous explique la supériorité de la musique de placard sur la musique de chambre...



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17 mars 2020

Yann Faucher

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17 mars 2020

Quand on a 17 ans un film de Téchiné

 

 

Quand on a 17 ans un film de Téchiné

 

 

Téchiné a de la chance, les critiques français méconnaissent le cinéma américain, dit indépendant, en réalité formaté pour le festival de Sundance, et ignorent à peu près tout du cinéma gay, si l'on excepte Didier Roth-Bettoni, l'auteur de l'indispensable « L'homosexualité au cinéma » qui depuis ce livre, malheureusement ,ne donne plus beaucoup de ses nouvelles. Si ce n'était pas le cas, les dits critiques ne crieraient pas à l'originalité à propos de ce film, mais remarqueraient que l'argument de « Quand on a 17 ans » est des plus éculés: Deux garçons, en dernière année du lycée, commencent par s'affronter pour bientôt tomber follement amoureux l'un de l'autre. Je ne vous infligerais pas la liste des films qui ont le même pitch tant elle est longue. Le cinéaste a même poussé le mimétisme des américains jusqu'à prendre deux acteurs pour jouer les deux adolescents qui sont plus vieux ou font plus que leur âge.

 

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Mais a bien y réfléchir, il n'a pas autant de chance que cela, car les dits critiques assermentés, de leur dense inculture, ne s'apercevrons pas que de cet argument d'une affligeante banalité, Téchiné a réussi à faire un film formidable, en y insufflant son romanesque habituel, toujours sur le fil du rasoir, toujours prêt de verser dans le mélo et réussissant cette fois à n'y jamais tomber, peut être que parce que dans chaque plan du film surgit de l'inattendu pourtant toujours juste. Sans doute Téchine doit cette justesse à sa co-scénariste, Celine Sciamma (scénariste entre autres de Tomboy) qui a su canaliser le trop plein de romanesque du cinéaste. La principale raison pour laquelle on est à chaque instant suspendu au romanesque de l'intrigue est que pour une fois Téchiné est parvenu à l'ancrer dans un tissu sociologique crédible. Car chez ce cinéaste si tous ses films sont intéressants, avant celui-ci aucun était complètement réussi, souvent à cause d'un contexte sociologique peu crédible, parfois en raison aussi d'une erreur de casting. Ici tous les rôles sont remarquables tenus à commencer par ceux des deux jeunes acteurs. Corentin Fila est Tom, le fil métis adopté par un couple petit fermier de montagne. Kacey Mottet-Klein (déjà très bien dans « L'enfant d'en-haut, déjà une histoire de montagne...) est Damien le fils d'une famille plus bourgeoise de la vallée, la mère (Sandrine Kiberlain) est médecin, tandis que le père est militaire. Pourtant lorsqu'ils apparaissent à l'écran, ils ne paraissent pas évident dans leur emploi; mais bien vite ils s'imposent comme les seuls possibles. Et puis il y a bien sûr Sandrine Kiberlain dont de film en film, on cherche le superlatif que l'on pourrait appliquer à son jeu. Le soin dans le choix de tous les petits rôles est également un grand atout du film comme le sont les paysages de montagne de l'Ariège et de Haute Garonne filmés principalement l'hiver; vous remarquerez combien il est rare qu'un film soit situé en hiver, principalement à cause des contraintes climatiques. Téchiné a augmenté la difficulté en multipliant les scènes tournées sur un sol enneigé, exercice très périlleux en raison des traces que peuvent laisser l'équipe à chaque prise. La localisation de l'intrigue m'a fait penser à « Perthus », la belle pièce de Jean-Marie Besset, elle aussi, une histoire d'amour entre deux garçons à la fin de l'adolescence dans les Pyrénées. Il aura fallu attendre son vingt et unième film pour avoir la révélation que Téchiné peut être aussi un grand paysagiste. Merveilleux paysages aussi sont les plans sur les deux garçons nus, apaisés après avoir fait l'amour. La scène de sexe est si belle que l'acte en paraît réinventé. Contrairement à bien des films gay l'obstacle à leur amour ne vient pas à l'extérieur mais ce trouve à l'intérieur d'eux-même. Mais si le film est réussi ce n'est pas seulement grâce à l'excellence des comédiens et la beauté des paysages, c'est surtout parce que ce n'est pas le dialogue qui dessine l'opposition puis la fusion des deux garçons mais la mise en scène. 

Le plus enthousiasmant dans ce film c'est sans doute que l'on est sûr que ces personnages si plein d'énergie auront l'avenir qu'ils auront décidé d'avoir.

 

  

Quand on a 17 ans un film de Téchiné

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16 mars 2020

Manuhamu

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16 mars 2020

David Hockney with his dogs, Stanley and Boodgie.

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16 mars 2020

L'église santo Domingo à Cuzco

L'église santo Domingo à Cuzco
L'homme au balai est St Martin de Porres, un convers dominicain qui a vécu dans le Pérou du début du XVIIe s. Il se livrait aux tâches les plus simples et vivait en amitié avec les animaux, qu'il nourrissait sans considération d'espèce. Il est extrêmement populaire en Amérique latine. Merci Constantin pour cette précieuse information.

L'homme au balai est St Martin de Porres, un convers dominicain qui a vécu dans le Pérou du début du XVIIe s. Il se livrait aux tâches les plus simples et vivait en amitié avec les animaux, qu'il nourrissait sans considération d'espèce. Il est extrêmement populaire en Amérique latine. Merci Constantin pour cette précieuse information.

L'église a trois nefs, un dôme, des stalles sculptées, les murs sont décorés avec des azulejos de Séville. Mais la bizarrerie est que ces bois somptueusement travaillés servent de châsses non à des tableaux baroques de la fameuse école de Cuzco mais à des peintures d'un kitsch hallucinant dans le plus pur style 1960. Elles devraient ravir Pierre et Gille. Malheureusement de jolis jeunes cerbère interdisaient de les photographier. J'ai tout de même réussi à capturer l'image de cet abbé muni d'un balai protecteur des chats et des souris (?) ainsi que d'un ange très pop. Je ne sais pas ce qui vaut à cette église cette surprenante décoration. En 1551, dans le couvent, a été fondée l'université nationale majeure de San Marcos, la première université fondée en Amérique.

 

L'église santo Domingo à Cuzco
L'église santo Domingo à Cuzco
L'église santo Domingo à Cuzco
Pérou, Cuzco, septembre 2015

Pérou, Cuzco, septembre 2015

16 mars 2020

Francis Campbell Boileau Cadell

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16 mars 2020

Opération sweet Tooth de Ian McEwan

Opération sweet Tooth de Ian McEwan

 

 

L'auteur ne nous avait pas habitué à une entrée de roman aussi primesautière. Nous sommes à Cambridge en 1970. Serena Frome, une jeune gourgandine est fille d'un évêque. C'est possible outre Manche dans la religion anglicane, en tout bien tout honneur. Elle raconte, à la première personne du singulier ses émois. Elle est jolie et généreuse de son corps. Elle étudie sans passion les mathématiques alors que, lectrice compulsive, elle aurait aimé se plonger dans la littérature anglaise. Serena se fait approcher par le fameux MI5 car dans le journal de l'université, les services secrets de sa majesté on remarqué les articles de la jeune femme à la gloire des dissidents soviétiques et de Soljenitsyne en particulier. Celui qui va devenir le mentor es espionnage de Serena est un professeur qui teste l'antibolchévisme de son élève en la glissant dans son lit... Sérena est jugée bonne pour le service. Ce début se présente comme une sorte de parodie plaisante et surtout drôle des campus novel de David Lodge. Mais sous cette entame légère se cache un roman très ambitieux, mêlant plusieurs genres comme souvent chez cet auteur. « Opération sweet Tooth est à la fois un roman d’espionnage, un roman d’amour, un roman historique, un récit d’apprentissage et une réflexion sur la création littéraire. 

La découverte du MI5 par l'héroïne m'a évoqué le film d'espionnage loufoque et hilarant des frères Cohen: « Burn After Reading ».

Passé l'entame, peinture ironique des miteux services d'espionnage britanniques, on glisse subrepticement à la description des méthodes de renseignement et de désinformation à l'époque de la guerre froide qui ferait paraître coruscante la prose de John Le Carré que Ian Mc Ewan ne doit pas ignorer.

Ce n'est pas la première fois que McEwan se frotte au genre du roman d'espionnage. Il nous en avait donné déjà un roman y appartenant avec « L'innocent ». L'auteur rappelle au passage que les avanies que subit notre simili espionne sont contemporaines à la « jamesbonderie » galopante qui sévissait alors au Royaume-Uni... 

Si les romans d'espionnage écrits sur la Guerre Froide sont nombreux, ils ne se penchent guère sur un aspect du conflit largement méconnu, celui de la guerre culturelle.

Comme l'écrit l'auteur lui-même, l'histoire commence véritablement à la page 140 lorsqu'il est ordonné à Sérena d'infiltrer l'univers d'un jeune auteur prometteur, Tom Haley, car les supérieurs de la jeune femme voient en cet écrivain une personne pouvant contrebalancer le poison marxiste que l'intelligentsia traitresse du monde libre distille au fil des jours.

Une fois de plus Ian Mc Ewan montre qu'il est fasciné par la manipulation des êtres et des esprits. N'est il pas lui même un grand manipulateur lorsqu'il recycle, en la parodiant, l'intrigue d'un de ses romans, « Délire d'amour » présentant la chose comme étant une nouvelle de Tom Haley. D'ailleurs d'après cette version, si l'on ne doute pas que l'écrivain en herbe soit bien pensant en revanche on est moins sur de son talents littéraire. On peut voir dans cette pirouette le regard que porte Ian McEwan, aujourd'hui sexagénaire, sur l'écrivain novice qu'il fut il y a près de quarante ans. Et l'on peut se demander quelle est la part d'autobiographie dans le récit des débuts de Tom Haley. Il est certain que l'auteur prête à son héroïne ses gouts littéraires. Serena, lectrice vorace et primaire reste froide devant l'avant-garde d'un Ballard, mais s'emballe pour Jane Austen. Les clins d'oeil au monde de l'édition anglaise sont nombreux par exemple passe Martin Amis, Angus Wilson et surtout Ian Fleming, le créateur de James Bond. Ian Mc Ewan aurait-il été un agent de la CIA ou d'une autre officine? 

Ian Mc Ewan est un portraitiste hors pair. Il parvient à nous faire aimer cette pauvre fille de Serena qui est tout de même assez conne. La médiocrité de l'héroïne est pour moi le principal défaut du roman ce qu'a très bien compris McEwan à l'habileté littéraire diabolique qui, dans un twist inattendu à la toute fin du livre, déjoue cet éventuel reproche. Puisque MC Ewan nous refait le coup de « Expiation » comme dans ce que je tiens pour son chef d'oeuvre (mais je n'ai pas encore lu tous ses romans) le lecteur s'aperçoit au dernier chapitre qu'il n'a pas lu ce qu'il croyait lire. 

Ce lroman peut se lire à différents niveaux. Sous des aspects souvent amusants « Opération Sweet Tooth » est aussi une réflexion sur l'écriture et la liberté des écrivains. L'auteur renvoie dos à dos l'espion et le romancier ces menteurs professionnels qui sont au fond, assez peu fréquentables.

« Opération Sweet Tooth » nous aide aussi à nous souvenir à ce qu'était le Royaume-Uni dans les années soixante-dix, avant la médecine carabinée de madame Tatcher, un pays en faillite dans lequel on se demandait chaque jour quel corporation allait se mettre en grève, pire qu'en France (je sais c'est difficile à imaginer aujourd'hui lorsque nous somme au bord de la Tamise). Une nation où la crise pétrolière avait contraint le pays à ne travailler que quatre jours pour économiser l'énergie. Le pétrole écossais n'était pas encore opérationnel. Les attentats de l'IRA faisaient des ravages, et l'on n'imaginait pas que dans moins de vingt ans l'URSS allait s'écrouler... 

Cette histoire est basée sur des faits réels. Durant la guerre froide le MI5 enrôla, avec leur consentement ou non, comme ici, certains écrivains britanniques dans la propagande anticommuniste. L'auteur évoque une manipulation de ce genre pour le 1984 de George Orwell... Il faudrait être bien naïf pour croire que cette guerre culturelle ait épargné la France. Il est de notoriété publique que des officines du gouvernement américain finançaient partiellement certains journaux et revues « Sélection reader digest bien sûr mais aussi beaucoup d'autres à l'américanisme moins voyant quant à la presse communiste que serait elle devenu sans les roubles du Kremlin? Mais Moscou n'arrosait pas que la presse du Parti. Ces largesses aidèrent beaucoup par exemple Constellation, le rival de sélection, ou « l'Evènement » le beau trimestriel de d'Astier de la Vigerie. Les deux grandes puissances n'étaient pas les seules à prodiguer quelques monnaies à la presse européenne, on peut aussi citer parmi les donateurs Israel et l'Afrique du sud... Il serait d'une naïveté confondante de penser que des pratiques similaires n'existent plus aujourd'hui.

Ce roman qui révèle son véritable enjeu qu'à la toute fin et qui en fait il parle plus de création littéraire que de jeu politique est un grand plaisir de lecture.

 

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