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Dans les diagonales du temps
12 mars 2020

Young Boy Ted Bronze 2005 Karoly Szekeres

Young Boy Ted Bronze 2005 Karoly Szekeres
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12 mars 2020

La Tapette en bois de Jacki

Une chanson d'hier trouvée sur le site "désirs et émois"         http://desirs-emois.blogspot.it. Tout en sous textes et allusions. Peut être qu'un érudit pourra nous dire l'auteur et compositeur de cette immortelle chanson.

On a depuis quelques temps
Les jeux les plus amusants
Le yoyo, c'était beau
Quand c'était nouveau
Mais à présent, c'est fini
Car les grands et les petits
Ont déjà remplacé
Ce jeu distingué
- Refrain -
Aujourd’hui partout on voit
La tata, la tapette
C’est un jeu des plus adroits
La tapette en bois !
 
On peut voir un peu partout
Le fameux billard à trous
Pour ce jeu merveilleux
Chacun fait la queue
Mais quand on attend son tour
Désormais l'on peut toujours
S'amuser gentiment
Pour passer son temps
- Refrain -
Ce petit jeu-là n’est rien
Il suffit d’un va-et-vient
Toc-toc-toc, pan-pan-pan
Ça c’est épatant !
Mais la balle en caoutchouc
Parfois rebondit sur vous
Et soudain, quel écueil
On la prend dans l'œil !
- Refrain -
Toto qui est un malin
Y joue du soir au matin
Ses parents ont la paix
Grâce à cet objet
Hier, dans la salle à manger
Son ballon s'est détaché
D'un seul coup il cassa
Les verres et les plats
- Refrain -
C'est un jeu qui fait fureur
Sur la plage et même ailleurs
On joue par-ci et par-là
Ce petit jeu-là
Des vieux messieurs distingués,
Des p’tits jeunes gens pommadés
Deux à deux, sans témoin
Y jouent dans les coins
- Refrain -

La tapette en bois

12 mars 2020

sempé, le diariste

sempé, le diariste
sempé, le diariste
12 mars 2020

Les "lc" d'Egermeier de la collection Y.B.

lc 91 Perronet

lc 91 Perronet

lc 337 Vaugirard

lc 337 Vaugirard

lc 335 Vaugirard

lc 335 Vaugirard

lc 339 Vaugirard

lc 339 Vaugirard

lc 353 Vaugirard

lc 353 Vaugirard

lc 663

lc 663

Je remercie chaleureusement Y.B d'avoir bien voulu scaner les tirages estampillés lc de sa collection et de me les avoir envoyés.  Sous la plupart des photos de ce billet figurent son numéro et l'adresse du photographe, indications qui se trouvaient au dos du tirage.

 

Je réitère mon appel. Si vous avez des informations sur Karel Egermeier soyez assez aimable pour me les communiquer. Si vous vous reconnaissez ou si vous reconnaissez une personne de votre connaissance sur ces images, si vous avez une idée sur les lieux et la datation éventuelle des photos ci-dessus n'hésitez pas à m'en faire part. Si sur d''anciens journaux scout vous trouvez des photos signées Aiglon ou Egermeier pourriez vous les scaner et me les envoyer avec la date de parution de la revue. Merci d'avance 

 

12 mars 2020

Torzok un film d'Arpad Sopsits

Torzok un film d'Arpad Sopsits

Hongrie, 2001, 1h 40mn

 

Réalisation: Arpad Sopsits, scénario:, musique: After Crying 

 

avec:Tamas Mészàros, Szabolcs Csizmadia, Attila Zsllak 

 

Torzok un film d'Arpad Sopsits
Torzok un film d'Arpad Sopsits

Résumé:

Dans les années 60, Aron est abandonné dans un orphelinat par son père récemment divorcé. Le garçon endure dans ce lieu, qui a tout d'une prison, une vie pleine de cruauté et de désespoir, ponctuée par les coups du personnel de l'orphelinat et les vexations des autres garçons. Son seul ami est son camarade de classe Attila, qui l'aide à découvrir l'amour et lui donne la force de se battre.

 

 

Torzok un film d'Arpad Sopsits
Torzok un film d'Arpad Sopsits

L'avis critique

 

Ce film très dur et quelques fois un peu complaisant va néanmoins au delà de son anecdote. On comprend qu'à travers l'orphelinat dépeint dans le film c'est toute la société hongroise des années 60, après l'écrasement de la révolte de 56, que le film met en accusation. La fin est tragique et laisse une impression de pessimisme absolu. Le réalisateur s'est basé sur sa propre expérience, ayant vécu son enfance dans un orphelinat.

L'ambiance générale est sombre et le film peut être considéré comme difficile à regarder par certains. Les quelques moments d'espoir que l'on peut observer sont directement liés à l'amitié entre Aron et Attila ainsi que le rapport qu'Aron entretient avec un de ses professeurs, le mélancolique Gálffi, qui semble être le seul enseignant de l'école qui se soucie de ses élèves et s'oppose même au directeur despotique de l'institution.

Certaines scènes sont vraiment cruelles. Par exemple dans l'une d'elles un des enseignants fait battre un garçon par ses camarades parce qu'il priait Dieu, ce qui était interdit dans un établissement tel que celui-ci dans un régime communiste. La réalisation n'est pas sans défaut, l'image est souvent sombre, beaucoup de scènes sont systématiquement sous exposées. Mais les acteurs, enfants comme adultes sont tous remarquables.

 

Torzok un film d'Arpad Sopsits
Torzok un film d'Arpad Sopsits
Torzok un film d'Arpad Sopsits
Torzok un film d'Arpad Sopsits
Torzok un film d'Arpad Sopsits
Torzok un film d'Arpad Sopsits
Torzok un film d'Arpad Sopsits
Torzok un film d'Arpad Sopsits
Torzok un film d'Arpad Sopsits
Torzok un film d'Arpad Sopsits

Torzók ( teljes film ) 2001

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12 mars 2020

Dominion de C. J. Sansom

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Certains britanniques, semblent nous envier notre Occupation, nos collaborateurs et notre rafle du « Vel d'hiv ». « Dominion » n'étant pas la première uchronie décrivant une Angleterre occupée par les nazis ou, comme ici, vassale de l'Allemagne hitlérienne (1). 

Qui dit uchronie, dit point de divergence avec notre Histoire. Dans le cas présent, il se situe exactement le 9 mai 1940. Jour où Winston Churchill accepte de devenir premier ministre en remplacement de Chamberlain, alors que la presse de la veille voyait plutôt lord Halifax occuper le poste. Halifax était clairement partisan d'une politique d'apaisement avec les allemands et peut être plus, sous l'influence du groupe Cliveden set. Dans « Dominion » c'est Halifax qui est choisi. Après le repli de Dunkerque, Halifax choisit de signer une paix séparée avec Hitler. Dans les années qui suivent, tout en gardant son empire, l'Angleterre est devenue un satellite de l'Allemagne nazie.

Lorsque débute véritablement le roman, après un court et brillant rappel historique, douze ans ont passé depuis cette piteuse signature. Hitler rongé par la maladie de Parkinson est toujours vivant; une lutte pour sa succession se profile. Les nazis dominent toute l'Europe mais sont toujours en guerre contre les soviets. Les allemands contrôlent toutes les grandes villes russes mais l'Armée rouge, repliée en Sibérie, y semble inexpugnable. Les américains ne sont pas entrés en guerre. Le Japon a conquis une grande partie de l'Asie à l'exception des possessions anglaises. Mais l'Indes supporte de plus en plus difficilement la tutelle des britanniques. L'année précédente au cours d'élections truquées, les fascistes sont entrés au parlement. Ils ont obtenu des postes ministériels importants. Churchill chef de l'opposition est dorénavant dans la clandestinité. Il est devenu le chef d'une résistance disparate mais bien organisée qui a infiltré toutes les strates de la société.

Le héros de « Dominion » s'appelle David. C'est un trentenaire brillant mais peu ambitieux. Il travaille à un poste important au ministère des colonies. Son ménage est en déshérence depuis la mort accidentelle de son fils. Peu après le début du récit, écrit classiquement à la troisième personne du singulier, il est contacté par un de ses anciens condisciples d'Oxford pour entrer dans la résistance que dirige Winston Churchill. David a accès à des documents confidentiels qu'il fait fuiter. Mais bientôt il se voit confier une mission plus périlleuse: protéger un de ses anciens amis devenu un scientifique porteur d'un secret capable de renverser l'équilibre du monde. La Gestapo est bien décidée à le récupérer...

Difficile de lâcher ce pavé de 920 pages avant la fin. Ceci en dépit du fait que C. J. Sansom est incapable de faire court. Tout comme par exemple Connie Willis ou Stephen King notre auteur ignore l'ellipse. Il ne nous épargne rien de la généalogie de chacun de ses personnages, sans que pour cela, il est vrai, engendrer l'ennui du lecteur grâce à son style fluide. Il faudrait dire plus souvent qu'il est plus facile pour un écrivain de faire long que court. La traduction est due à George-Michel Sarotte (1), par ailleurs grand spécialiste de la littérature américaine; elle connait, surtout au début, quelques faiblesses.

Dominion n'est pas qu'une intrigue d’espionnage haletante digne des plus grands romans de John Le carré, l'énorme documentation digérée par Sansom, voir l'imposante bibliographie en fin du volume, en fait une réflexions sur les courants politiques qui ont travaillé la société britannique des années 30 aux années 50 à travers un regard clairement social-démocrate, assez rare du coté de l'uchronie. L'auteur nous donne une lecture travailliste de l'Histoire, mais d'un travaillisme classique aussi loin du blairisme, dont on peut déceler en filigrane la critique, que des dérives gauchistes du parti.

Pour son gouvernement anglais fantoche le romancier s'est inspiré du régime de Vichy. L’auteur brosse un portrait fort peu complaisant de ses compatriotes en donnant à voir une Angleterre collaboratrice et opportuniste. L'influence de l'Histoire de France est encore plus prégnante dans sa peinture de la résistance, fait d'individus de toutes tendances et de toutes les classes sociales, malheureusement un peu trop lourdement caractérisés, plutôt que des êtres de chair, ils ne sont parfois que des archétypes.

Il faut saluer l'audace du livre dans son projet. Mis à part la poignée des premiers rôles, tous les autres intervenants sont des personnages ayant réellement existé.

 

 Oswald Mosley et quelques un de ses partisans en 1934

 

Les hypothèses avancées par C. J. Samson sont fort crédibles: le magnat de la presse Lord Beaverbrook, un isolationniste, équivalent pro-allemand du Président Lindbergh chez Roth, est devenu Premier ministre. Dans son gouvernement le leader fasciste britannique Oswald Mosley est ministre de l'intérieur; on y retrouve également Enoch Powel, tandis que Churchill est le chef d'une résistance clandestine mouvement qui badigeonne parfois les murs des lieux publics du signes V. En Amérique, Adlai Stevenson vient de remporter l'élection de 1952. Dans notre Histoire, Stevenson a été battu par, le général Dwight Eisenhower, mais, dans la version de l'Histoire de « Dominion », il n'y a pas eu une victoire alliée pour auréoler la réputation de Ike qui n'a donc même pas pu concourir pour les Républicains.

Samson n'hésite pas à faire de certains des suppôts du nazisme, ce qu'il, à part Mosley bien sûr, n'ont jamais été; peut être, comme le suggère l'auteur, seulement en raison du déroulement de l'Histoire et non de leurs convictions profondes. C'est très culotté, imaginez une uchronie française dans laquelle la France serait un satellite de Moscou et où les laquais de Staline se nommeraient Maurice Thorez, Jacques Duclos, Pierre Cot, Emmanuel d'Astier de la Vigerie... Sansom n'a pas hésité à faire de la féministes Marie Stopes, une conseillère du le ministère de la Santé qui prône la stérilisation eugénique, ni des nationalistes écossais des affidés enthousiasme d'Hitler.

Curieusement l'autobiographie n'est pas toujours absente des uchronies, voir « Le complot contre l'Amérique » de Philip Roth, ici le fait que Sansom soit né en 1952, année durant laquelle se déroule l'action principale de « Dominion » ne doit rien hasard. L'auteur s'est souvenu de son enfance et a imaginé ce qu'elle aurait pu être dans un autre contexte. 

Samson réussit à rendre palpitante cette question: Quel serait le monde si en 1940, l'Angleterre avait capitulé ? 

 

Nota

1- Voir "Le cercle de Farthing" de Jo Walton. Dominion a quelques parentés troublantes avec ce roman paru en Angleterre en 2006 et en France en 2015 et bien sûr ce chef d'oeuvre de l'uchronie qu'est "Les iles du soleil" de Ian R. MacLeod.

2- Lisez absolument son formidable essai: « Comme un frère, comme un amant » (édition Flammarion, 1976) sous-titré « L'homosexualité masculine dans le roman et le théâtre américains de Herman Melville à James Baldwin. 

 

12 mars 2020

Giovanni Antonio Pellegrini : Achille contemplant le corps de Patrocle (c. 1700)

 Giovanni Antonio Pellegrini : Achille contemplant le corps de Patrocle (c. 1700)
12 mars 2020

Questionnaire cinéphile entre Proust et Pérec

Joachim dont je vous conseille l’excellent blog cinéphilique (http://365joursouvrables.blogspot.com/) a eu la judicieuse idée d’adapter le « questionnaire portrait chinois » en un questionnaire “proustien” où il s’agit moins de citer nos films préférés que ceux qui ont marqué notre jeunesse. Le bon docteur Orlof (http://drorlof.over-blog.com/) à rempli le questionnaire avec érudition et sensibilité.

Je vous livre mes réponse à ce délicat exercice. Il ne faut pas hésiter  à vous prêter au jeu du << si j’étais>>.

 

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Un film:

“Lawrence d'Arabie” de David Lean, l'aventure, l'espionnage, les conquêtes, les causes perdues, l'empire, les garçons...

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Un réalisateur:

Adolescent je vouais une passion à Claude Chabrol, “La femme infidèle” était mon grand film, Michel Bouquet et Maurice Ronet mes acteurs préférés. Lorsque quelques années plus tard j'ai rencontré Maurice Ronet, il a été très flatté d’avoir été mon comédien favori. Mais alors, c'est surtout sa peinture que j'aurais aimé voir... dont plus tard Oscar Gauthier me parla avec chaleur. Il y a deux ans, sur la plage de La Baule où je lisais le ventre sur le sable comme souvent je le fis, et soudain une rumeur parcouru le sable, Claude Chabrol venait de mourir non loin de là, il habitait Le Croisic, j'ai été très ému.

Unknown

Un acteur:

Enfant, jusqu'à 15 ans, c'est Jean Gabin qui me passionnait, “Les grandes familles” ou “Le président” ou bien encore “La bête humaine”, autant de films découverts à la télévision, le dimanche soir, sur l'unique chaîne, qui m'avaient beaucoup impressionné. Dès leur sortie je demandais à ma tante de m’emmener voir le dernier film de l’acteur.

A cette époque avec mes parents nous habitions la banlieue parisienne. Nous n’allions à Paris au cinéma qu’exceptionnellement, le plus souvent pour voir le Disney annuel. J’attendais donc  que les films de mes acteurs préférés, il n’était pas encore question pour moi de metteur en scène dont j’ignorais jusqu’à l’existence, passent dans nos cinémas de quartier. Ils avaient pour nom le Vox et le Dôme. Nous étions prévenu de la programmation de ces deux cinémas par de grandes affiches mensuelles aux lettres tantôt rouges, tantôt bleues, invariablement collées sous le pont du chemin de fer.

images

 

 

Une actrice:

Dominique Sanda dans “Le jardin des Finzzi Contini” de Vittorio De Sicca.

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Une rencontre d’acteurs:

Laurel et Hardy qui seront à jamais mon souvenir des après-midi de vacances lorsque ma jeune tante m'emmenait au cinéma lorsque nous ne pouvions aller à la plage.

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un gag: 

Toujours Laurel et Hardy se servant à tour de rôle de leur pouce comme briquet dans “Fra Diavolo”, vu à six ans dans un cinéma de Cabourg et jamais revu depuis!

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Une révélation: 

“Blow up” découvert une après midi à Leysin, un jour de tempête de neige, où l'on ne pouvait pas skier, le mauvais temps est propice à la naissance de la cinéphilie..

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Souvenir cinéphilique qui pourrait figurer dans une chanson de Vincent Delerm:

Je ne suis pas sûr que cela pourrait être dans une chanson de Delerm (que j'aime bien)... La crise de larme de mon petit ami d'alors à la sortie de "La mouche" de Cronenberg, il avait dix huit ans et devait mourir du sida quelques années plus tard...

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Une histoire d’amour:

Le problème lorsque l'on est gay et qu'on le sait très vite, c'est que l'on est très frustré de ce coté là... Il m’aura fallu attendre “Beautifull thing” pour voir une histoire d’amour gay qui finisse bien.

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Une bande son: 

“West side story”, la musique me tourne toujours dans la tête avec celle des Demoiselles de Rochefort.

Le pire film que j'ai vu: 

Mon beau frère à tué ma soeur dont j'ai oublié (par charité?) le nom du metteur en scène dont je ne désir pas me souvenir. 

Faiseur surestimé:

Beaucoup des cinéastes français que défendent à longueur d'année les Cahiers du cinéma, Vincent Dieutre par exemple et son désolant “Rome désolé”.

Unknown

Une oeuvre sous estimée:

Les films "qualité française" descendus par la Nouvelle vague et qui ont émerveillé mon enfance: “Taxi pour Tobrouk”, “Fortunat” (j’ai appris plus tard que Frédéric Mitterrand jouait l’un des enfants), “Les aristocrates”, “Un singe en hiver”...

Un choc plastique: 

“Le satiricon” de Fellini, “Mort à Venise” de Visconti, la même année je crois(??)

Un fantasme:

Vivre dans “Le satiricon” de Fellini pour être tout près d’Encolpe et Giton...

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A la manière de Pérec

  

Je me souviens entre mes sept et douze ans de mes sorties rituelles et très attendues du dimanche après midi sous le chaperonnage de ma tante qui était au moins aussi contente que moi d’aller voir des films et à laquelle je dois mon amour du cinéma.

Je me souviens ainsi de Jean Gabin en clochard dans “Archimède”, de Fernandel dans Crésus, de Francis Blanche dans “Ces messieurs de la famille”,de Darry Cowl dans “Le triporteur”, de Louis de Funes en braconnier dans “ L’affaire Blaireau” (mais je ne suis pas sûr du titre), de Jean Marais en bossu...

Je ma souviens de Fernand Reynaud en bagnard, cela s’appelait “Le mouton” je crois

Je me souviens de l’émerveillement pour le “Docteur Jivago” vu au Richelieu. Ce cinéma des grands boulevards existe-t-il encore?

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Gabrin et Darry Cowl dans Archimède le clochard

12 mars 2020

Damien Comment (3)

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12 mars 2020

street art à Athènes

 

 

à la porte d'un cinéma en plein air
à la porte d'un cinéma en plein air

à la porte d'un cinéma en plein air

street art à Athènes
street art à Athènes
dans le marché aux puces de la ville, héritage des turcs

dans le marché aux puces de la ville, héritage des turcs

street art à Athènes
street art à Athènes
street art à Athènes
Athènes, Grèce, juin 2014

Athènes, Grèce, juin 2014

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