Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Dans les diagonales du temps
photo ba
10 avril 2021

HANTAI AU CENTRE POMPIDOU

 

centre Pompidou-façade

 

Malheureusement encore une fois mon billet arrive après la bataille puisque cette exposition a fermée ses portes.

Comme je l'ai écrit dans un autre article l'agenda de cette rétrospective était déplorable car elle a privé la très belle exposition Lichtenstein de la place qui lui aurait été nécessaire. Cela en valait-il la peine. Ma réponse catégorique est non. Pour deux raisons la première est qu'Hantai a eu une seule idée artistique dans sa vie, celle de faire des noeuds avec ses toiles puis les tremper dans de la peinture (pour faire très simple). La seconde et la plus génante est qu'avant cette trouvaille qui donne de très décoratives toiles, (décoratif n'est pas en ce qui me concerne un qualificatif négatif, bien au contraire) les tableaux d'Hantai ne seraient certainement pas passés à la postérité sans la deuxième partie de sa carrière. Certaines toiles font penser pour les premières à Max Ernst, les suivante à Matta et même pour certaines à l'abstraction gestuelle de Mathieu. Ce n'était donc pas une bonne idée de consacrer une rétrospective à Hantai. Elle le dessert au lieu de le servir. Il aurait été beaucoup plus judicieux de présenter ses nouages et froissages dans des salles plus petites en densifiant l'accrochage. Je n'ai donc que peu photografié les premières salles pour privilégiant les "nouages". 

 

Capture-d-ecran-2013-09-05-a-07.16.07.jpg

 

 

DSCN0606.JPG

 

Capture d’écran 2013-09-05 à 07.13.07

 

DSCN0608.JPG

 

DSCN0609.JPG

 

Capture-d-ecran-2013-09-05-a-07

 

DSCN0611.JPG

 

DSCN0612.JPG

 

DSCN0615.JPG

 

Capture-d-ecran-2013-09-05-a-07.16.37.jpg

 

DSCN0617.JPG

 

Capture-d-ecran-2013-09-05-a-07.19.00.jpg

 

DSCN0618.JPG

 

DSCN0619.JPG

 

Capture-d-ecran-2013-09-05-a-07.20.04.jpg

 

DSCN0620.JPG

 

DSCN0621.JPG

 

DSCN0622.JPG

 

DSCN0623.JPG

 

DSCN0626.JPG

 

DSCN0632.JPG

 

DSCN0633.JPG

Paris, septembre 2013

Publicité
Publicité
10 avril 2021

LICHTENSTEIN AU CENTRE POMPIDOU

 

Capture-d-ecran-2013-08-31-a-18.11.08.jpg

 

DSCN0604.JPG

 

Même si le nombre de photos que je consacre à une exposition ne correspond pas toujours à l'enthousiasme que j'éprouve envers l'oeuvre de l'artiste exposé, il est un bon indicateur de mon appréciation, surtout que cette fois les photographies sont autorisées, avec l'habituelle restriction qu'apportent certains préteurs, privés ou institutionnels, comme la Tate, qui ne veulent pas que les pièces qu'ils prêtent soient photographiées.

C'est une grande chance qu'il ne faut pas manquer de voir autant de tableaux et de sculptures de Roy Lichtenstein à Paris. Ce peintre souffre que son oeuvre soit occultée par ses célèbres toile représentant des agrandissements de cases de bandes-dessinées, alors que son inspiration est multiple et que toute son oeuvre est marquée par une grande réflexion sur l'histoire de l'art qu'il connait parfaitement bien en particulier celle de la peinture moderne européenne.

Les tableaux les plus intéressants sont ceux où il revisite les peintres qu'il admire, en premier lieu Matisse mais aussi Picasso, Fernand Léger, Braque et quelques artistes plus anciens comme Monet ou Van Gogh... C'est d'ailleurs amusant de dénicher le nom de l'artiste qui a inspiré telle ou telle toile. Mais il peut s'agir aussi d'un catalogue de vente par correspondance, d'un comics, d'un dessin d'architecte ou d'une bande dessinée européenne...

Les nombreux extraits de déclarations de Lichtenstein sur les murs témoignent de l'intelligence de l'artiste. 

L'accrochage est très réussi dans l'espace qui lui est dévolu. Il arrive à combiner un parcours à la fois thématique et chronologique (ce que les photos de se billet respectent approximativement). Seulement il est patent que le Centre Pompidou n'a pas donné assez de place à cette manifestation d'ailleurs elle a été malheureusement "allégée" par rapport à ses étapes précédentes. Il ne parait pas judicieux d'avoir exposé en même temps deux artistes Lichtenstein et Raymond Hains dont les oeuvres de grandes tailles demandent un minimum de recul. On peut aussi se demander si l'oeuvre de Raymond Hains méritait autant de surfaces. Je reviendrais sur cette dernière exposition.

Est-ce le manque de place qui a empécher les commissaires de l'exposition d'une utile pédagogie qui aurait montré le complexe processus nécessaire à l'élaboration des oeuvres, dont beaucoup de visiteurs ne se doute pas. Cette mise en lumière avait été remarquablement faite lors de la première exposition Lichtenstein à la pinacothèque de Paris ( voir LICHTENSTEIN à la pinacothèque de Paris), il y a quelques années. Le catalogue de cette exposition était surtout consacré au mode opératoire qu'utilisait l'artiste pour accoucher d'un tableau. Ce précieux catalogue doit toujours pouvoir se trouver. 

 

DSCN0563.JPG

 

DSCN0564.JPG

 

DSCN0565

 

DSCN0565_3.JPG

 

???????????????????????????????

 

DSCN0566

 

DSCN0569.JPG

 

DSCN0568.JPG

 

DSCN0570.JPG

 

DSCN0571.JPG

 

DSCN0572.JPG

 

DSCN0573.JPG

 

 

 DSCN0575.JPG

 

DSCN0574.JPG

 

DSCN0576.JPG

 

 

DSCN0578.JPG

 

DSCN0580.JPG

 

DSCN0581.JPG

 

Roy Lichtenstein au Centre Pompidou et mon coeur fait BOUM !!

 

DSCN0583.JPG

 

DSCN0603.JPG

 

Capture-d-ecran-2013-08-31-a-18.14.31.jpg

 

Capture-d-ecran-2013-08-31-a-18

 

Capture-d-ecran-2013-08-31-a-18.30.04.jpg

 

DSCN0584.JPG

 

tigre-1976.jpg

 

Roy Lichtenstein au Centre Pompidou et mon coeur fait BOUM !!

 

DSCN0585.JPG

 

 

???????????????????????????????

???????????????????????????????

DSCN0587.JPG

 

Capture-d-ecran-2013-09-01-a-10.24.11.jpg

 

DSCN0605.JPG

 

DSCN0588.JPG

 

DSCN0589.JPG

 

DSCN0590

 

DSCN0591.JPG

 

DSCN0592.JPG

 

DSCN0593.JPG

 

DSCN0594.JPG

 

Roy Lichtenstein au Centre Pompidou et mon coeur fait BOUM !!

 

DSCN0595.JPG

 

tigre-1977.jpg

 

 

 

A visitor looks at the artworks Nude with Bust L and Nudes with Beach Ball 580x388 First complete Roy Lichtenstein retrospective in France opens at Pompidou Centre

 

DSCN0597.JPG

 

DSCN0599.JPG

 

DSCN0602.JPG

 

 

DSCN0601.JPG

Paris, aout 2013

 

10 avril 2021

UNE JOURNÉE À ROLAND GARROS 2011, 3

autres-images-8074.JPG

 

autres-images-8073.JPG

 

Comme très souvent lorsque j'ai des billets lors de la première semaine du tournoi, ce ne sont pas les rencontres sur les courts principaux qui m'intéresse le plus. Aujourd'hui je commence par le court n° 7 où joue Nishikori le grand espoir japonais. L'année dernière dans une rue de Kyoto, j'avais croisé son portrait géant. Il est opposé à Starkhovsky l'ukrénien qui est doté d'un beau touché.

 

DSCN1195.JPG

 

DSCN1206.JPG

 

autres-images-8080.JPG

 

Comme on le voit sur une de mes images le court n°7 est près du deuxième plus grand court du site, le court Suzanne Lenglen dont on entend un peu trop les annonces. Le match fut plaisant entre ces deux joueurs qui ne sont pas des cogneurs. J'ai rarement vu dans une rencontre autant d'amortis surtout réalisé par Starkhovsky. Nashikori pourtant bien soutenu par une colonie japonaise qui dès l'ouverture des portes s'était installée sur le court. Les japonais ont une façon discrète mais constante de soutenir leur joueur, bien à eux.

 

DSCN1205.JPG

 

autres-images-8074-copie-1.JPG

 

DSCN1209.JPG

 

Nashikori m'a un peu déçu, car c'est un des joueurs qui a le plus progressé dans le classement l'année dernière mais il a perdu en quatre sets. Il me parait manquer un peu de puissance pour jouer les premiers rôles sur le circuit en particulier sur terre. Les japonais espère qu'il deviendra le joueur de leur pays le mieux classer de l'histoire du tennis. Il y a quelques semaines il pointait à la cinquantième place. Jusqu'à maintenant c'est Matsuoka, spécialiste de l'herbe qui évoluait il y a une dizaine d'années qui a été le tennisman japonais le mieux classé, à la 49 ème place.

 

DSCN1200.JPG

 

DSCN1202.JPG

 

DSCN1204.JPG

 

autres-images-8072.JPG

 

autres-images-8077_2.JPG

 

autres-images-8077.JPG

 

autres-images-8078.JPG

 

autres-images-8079.JPG

 

DSCN1210.JPG

 

Et toujours les ramasseurs de balles, après ce beau match et une visite au restaurant du lieu, moins joli que les années précédentes mais néanmoins agréable, direction le central où malheureusement est programmé un match entre français indigne des lieux, Ruffin-Monfils. J'ai du mal en voyant le jeu peu inspiré et brouillon de ce dernier que ce soit le meilleur français quant à Ruffin, je ne comprend pas bien ce qu'il fait là, son jeu se résumant à son seul service!

 

autres-images-8081.JPG

 

autres-images-8082.jpg

 

autres-images-8083.JPG

 

La suite est plus intéressante avec l'opposition Djokovic - Hanescu. Le roumain a un superbe service. Malheureusement après un beau premier set, il se blesse au début du deuxième set et abandonne au début du troisième. Je ne vois pas qui pourrait battre Djokovic cette année.

 

autres-images-8085.jpg

 

autres-images-8086

9 avril 2021

STREET ART DANS LE XX ÈME ARRONDISSEMENT DE PARIS AU DERNIER JOUR DE L'ANNÉE 2011

DSC02985.JPG

 

DSC02983.jpg

 

DSC02984.jpg

 

DSC02986.jpg

 

DSC02990.jpg

 

DSC02991.jpg

 

DSC02992.JPG

 

DSC02993.jpg

 

DSC02994

 

DSC02995.JPG

 

DSC02996.JPG

 

DSC02998.jpg

Paris, 31 janvier 2011

 

9 avril 2021

UNE VISITE À HERCULANUM

DSC07291.JPG

 

DSC07292.JPG

 

DSC07293.JPG

 

DSC07294.jpg

 

DSC07295.JPG

 

DSC07296.jpg

 

DSC07305.JPG

 

DSC07306.JPG

 

DSC07307.JPG

 

DSC07308.JPG

 

DSC07309.JPG

 

DSC07312.jpg

Herculanum, avril 2013

 

COMMENTAIRES lors de la première édition du billet

C'est encore vous, ces photos... Ah, les ocres et les rouges d'Herculanum et Pompéi suffiraient presque à me coller le souffle court et à dessécher ma salive comme si j'allais incontinent croiser dans ce décor l'adorable Giton du Fellini-Satiricon ((Le correcteur automatique très latiniste apparemment ne veut pas de l'Y, bonne orthographe du film, pourtant))
COMMENTAIRE N°1 POSTÉ PAR XRISTOPHE LE 05/07/2013 À 18H04

Toutes les photos de la rubrique les temps enfuis sont de moi. Celles-ci ne font pas exception. 

RÉPONSE DE LESDIAGONALESDUTEMPS LE 05/07/2013 À 21H23
Merci pour ce beau billet
Je conseille une nouvelle fois je crois, le Satyricon de Polidoro pour, entre autres, son amusant traitement du personnage de Giton...
http://www.youtube.com/watch?v=0qfZ6vzRNt0
COMMENTAIRE N°2 POSTÉ PAR BRUNO LE 05/07/2013 À 22H12

merci pour ce lien

Publicité
Publicité
9 avril 2021

Delerm et à Roland Garros

128045435

delerm001

delerm002

 

delerm003

9 avril 2021

ROLAND GARROS 2009

 

39926922_p

39926966_p

 

Il y a quarante cinq ans, pour la première fois, j'ai pénétré ce stade qui était magique pour le gamin que j'étais alors. Il s'apprètait à ramasser les balles des Emerson, Stolle et autre Darmon. Mais il n'y avait pas encore d'ombrelle pour protéger les joueurs contre les feux du soleil. Quel plaisir, cette année de retrouver Roland Garros sous la canicule.

39927162_p



39927199_p



Les attitudes des ramasseurs, toujours aussi vigilant aux balles, n'ont presque pas changé en un demi siècle! Je remarque que beaucoup de ces gamins, qui se dépensent pourtant sans compter, sont en sur poids! Quel pays où même les sportifs sont guettés par la mauvaise graisse!

39927507_p



39927565_p



39927612_p



39927670_p



Le plaisir des premiers tours n'est pas seulement de voir jouer Nadal ou Federer sur le Central mais surtout avec un billet pour le court Philippe Chatrier de dénicher, sur un court annexe, comme je l'ai fait cet après midi, des joueurs évoluant vers la centième place du classement pour lesquels un premier tour d'un tournois du grand chelem est aussi important qu'une finale pour les dix premiers du tableau. C'est ainsi qu'une fois encore, j'ai vibré pour des quasi inconnus, durant Trois heures trente, débout à me faire roussir les mollets, tantôt pour un ouzbek, tantôt pour un colombien, pour lesquels cette rencontre était capitale .

39927965_p



39928023_p



Et puis quel plaisir, assis dans le Central de voir jouer Federer, le plus beau tennis dans le circuit aujourd'hui...

39928116_p



39928203_p



39928309_p



39928386_p



39928615_p



Et il y a toujours de jolis spectateurs...

40094767_p

 

Pour apprécier pleinement Roland Garros lors de la première semaine du tournoi, mieux vaut en connaître le mode d'emploi qui ne s'acquiert qu'après une petite expérience du stade de la porte d'Auteuil. Les rencontres les plus intéressantes des premiers tours ne sont presque jamais sur les courts principaux où le plus souvent des têtes de série exécutent d'obscurs joueurs, pour qui jouer sur le central, auquel on a eu la bonne idée de donner le nom de Philippe Chatrier, auquel le tennis, et pas seulement le tennis français, doit beaucoup, est déjà une victoire, mais sur les courts annexes.

40095121_p



Sur ces terrains, parfois assez éloignés du Central, se disputent des rencontres entre des joueurs proches au classement ou encore entre une tête de série et un joueur assez mal classé mais spécialiste de la terre battue. C'était le cas jeudi dernier, sur le court 5, où s'affrontaient le russe Andreev, qui émarge à la 28 ème place, et l'argentin Vassallo-Arguello, un authentique terrien.

40095450_p


Andreev

40105692_p


Vassallo-Arguello

40105825_p



Toute l'astuce consiste donc a repérer quel est le premier match de la journée le plus intéressant en lisant sur "l'équipe" la répartition des rencontres sur les différents courts. Jeudi dernier j'avais jeté mon dévolu sur cette rencontre Andreev - Vassallo-Arguello, lui suite prouvera que j'avais raison. Il faut donc une fois entré dans le stade, ce qui n'est pas une mince affaire surtout lorsque l'on est muni d'un billet électronique, car l'entrée est très éloignée, se précipiter vers ce court pour espérer avoir une place.

40106608_p



40106814_p



Après avoir slalomé dans les allées encombrées du stade jusqu'au petites tribunes du court 5, je repère qu'il y a une place au bord du court, presque au niveau du filet. Après un petit exercice d'équilibriste me voilà à pied d'oeuvre. Les joueurs entrent sur court, la partie va commencer.

40107070_p



40107331_p



40107594_p



Le match tient toutes ses promesses. Chacun des deux joueurs sont bien décidés à mettre toutes leurs forces dans la balance pour que la victoire penche en leur faveur. Les échanges sont longs et acharnés. Chaque set atteint l'heure de jeu. Le tennis est peut être douloureux pour les pieds. Au troisième set, Andreev demande le médecin qui va lui confectionner une belle poupée au gros orteil.

40107940_p

40108278_p



 

40108355_p



Andreev a fini par gagner en cinq sets. Son jeu d'attaque a eu raison de la défense pugnasse de l'argentin. Mais il lui a fallu exactement 4h 59mn pour conclure et pendant tout ce temps je n'ai pas quitté mon petit bord du court. Il est temps de se restaurer, les glaces sont tentantes et je me laisse séduire par une belle composition de trois boules avec fruit et chantilly que j'emporte jusqu'au Lenglen où va commencer Tsonga - Monaco.

40108727_p

 

Tsonga

40108917_p



Lorsque l'on vient de suivre un match durant près de cinq heures, il est un peu difficile de rentrer immédiatement dans une autre partie. Il faut tout d'abord se "refaire l'oeil" car on vient de suivre une rencontre à parfois deux mètre des joueurs et là, sur ce central bis, je suis assez loin et qui plus est en fond de court, alors que sur le cinq j'avais une vision latérale du jeu.

40109181_p



40109241_p

 

Monaco

Lorsque l'on est en haut de la tribune sud du Lenglen, on ne voit que quelques cimes d'arbre dépasser de l'arrondi de la tribune nord. On peut alors imaginer que le stade est perdu en pleine forêt...
Il n'a fallu que quatre sets et un peu plus de trois heure pour vaincre Monaco. Je n'ai plus assez faim de tennis pour attendre le début de la rencontre suivante qui sera très vraisemblablement arrêtée par la nuit. Il est temps de quitter Roland Garros mais ce n'est qu'un au revoir puisque j'y retourne lundi...

40109574_p



40109687_p

 

 

40265725_p

 

40266459_p

40266654_p

 

Lorsque, comme moi, on ne suit que le tennis masculin, l'organisation du spectateur est différent durant la deuxième semaine par rapport à la première. Les rencontres qui m'intéressent se dérouleront donc après le premier match féminin sur le central pour lequel j'ai un billet. C'est la bonne journée, si l'on prend soin d'être à la porte du stade dès l'ouverture, à 10h 30, pour profiter du site. La foule y est moins dense dans la deuxième semaine par rapport au début du tournoi.

40267268_p



40267583_p



40267951_p



Dés le deuxième lundi, commencent les tournois juniors masculin et féminin. C'est toujours un peu émouvant de voir ces jeunes gens qui tous rêvent d'accéder dans les années prochaines au grand tableau. C'est aussi l'occasion de repérer les champions de demain. Le tournoi des junior est aussi une des meilleurs occasions pour admirer le ballet des ramasseurs de balles. Dés l'entrée j'ai profité du temps qui me séparait du premier simple homme pour visiter le tenniseum et son exposition sur le tennis et la bande-dessinée. Je vous en parlerai dans les jours qui viennent.

40268610_p



40269747_p



40269911_p



40270043_p



Ils sont admirables ces ramasseurs qui sont aussi vaillants sur ces courts annexes sur lesquels ils ramassent les balles de joueurs parfois à peine plus agés qu'eux que sur le central.

40270275_p



40270484_p



40270662_p



On m'avais indiqué ce jeune joueur espagnol, l'un des favoris du tournoi junior. Sa frappe est en effet très lourde mais il est à craindre pour lui, que si sa taille ne s'augmente pas quelques centimètres, il ne parvienne pas à briller chez les séniors.

.

40271114_p



11h 30 c'est l'heure d'ouverture de l'excellent restaurant du stade qui n'est agréable que tôt, lorsque la foule ne s'y presse pas et par beau temps comme aujourd'hui. Après un bon déjeuner il est temps maintenant de rejoindre le court Philippe Chatrier sur lequel commence la rencontre Haas-Federer...

40271458_p


Haas


40271725_p

.
Federer

40271925_p



40272274_p



128949944



Sur le central les ramasseurs sont fiers de ramasser les balles de leurs idoles mais en contrepartie ils y courent beaucoups plus que sur les autres terrains. Federer après être passé très près de la défaite au troisième set a réussi à retourner la situation pour finir par l'emporter en cinq manches. Entre les deux matchs de huitième de finale du tableau masculin, la fédération française de tennis a eu la bonne idée d'organiser une petite cérémonie pour le dernier Roland Garros de Fabrice Santoro? un joueur qui était un de ceux que j'aimais le plus voir jouer.



40272711_p

40273103_p



Avec le second match entre Tsonga et Del Potro la température du stade est considérablement montée même si le public s'est assez vite aperçu que le français n'arriverait pas à battre l'argentin.

40273403_p


Del Potro

40273731_p


Tsonga.


C'est toujours un peu de nostalgie que je prend la sortie du stade, encore une année de plus, une année de moins, c'était peut être mon dernier Roland Garros qui sait? Je vais maintenant suivre la fin à la télévision...

 

8 avril 2021

TIM BURTON À LA CINÉMATHÈQUE FRANÇAISE

DSC04552.JPG

 

DSC04525-copie-1.jpg

 

A une exception près, j'ai vu tous les films de Tim Burton et je les ai aimés presque tous. Mais à la cinémathèque française ce n'est pas principalement le cinéaste qui est exposé mais le dessinateur. Le dessin était le premier mode d'expression de Tim Burton et je pense que ce sera une grande  découverte pour bien des visiteurs.

 

DSC04532.JPG

 

DSC04533.JPG

 

DSC04533-copie-1.JPG

 

Grâce à de valeureux complices, certaines créatures imaginées par Tim Burton prenent du volume...

 

DSC04528.JPG

 

DSC04529.JPG

 

DSC04530.JPG

 

DSC04531.JPG

 

Pour un européen les dessins de Tim Burton font beaucoup penser à ceux de Ronald Searle, et ce n'est pas un mince compliment. A quand une grande rétrospective Ronald Seale en France où il a habité une partie de sa longue et talentueuse vie. Autre parenté en particulier pour les êtres inquiétants sortis du crayon de Tim Burton, celle avec Franquin et de ses "idées noires".

 

DSC04535.jpg

 

DSC04536.JPG

 

DSC04537.JPG

 

DSC04538.JPG

 

Si beaucoup de dessins se suffisent à eux même. On en découvre d'autres tout aussi savoureux qui ont servi à la préparation des films que Tim Burton à mis en scène.

 

DSC04539.jpg

 

DSC04540.jpg

 

DSC04541.jpg

 

DSC04542.jpg

 

DSC04543.jpg

 

On voit que Tim Burton est un véritable graphomane. Il dessine sur tous les supports comme le démontre ces serviettes de restanrant encadrés.

 

DSC04544.JPG

 

DSC04545.JPG

 

DSC04546.JPG

 

DSC04550.jpg

Paris, juillet 2012

8 avril 2021

Architecture balnéaire à La Baule, le quartier du Casino

P1040698

 

 

Le quartier du Casino comme son nom l'indique a pour centre le Casino. Au fil des ans cinq bâtiment successifs se sont succèdé au même emplacement, tous plus moches les uns que les autres. Je regrette seulement de celui qui a précédé l'actuel énorme bloc de bêton, datant de 1990 la belle salle de spectacle au jolies fresques (Si quelqu'un par hasard a des photos de ces peinture qu'il ait la gentillesse de me les envoyer).

Le quartier s'est développé autour de l'institut Marin Verneuil créé en 1895 par Mme Julie Pavie et son fils (d'où le nom de la rue Pavie, ancienne rue commerçante la plus chic de La Baule). Cet institut luxueux, architecte François Gaillot, ensuite grandement modifié par Georges Lafont, était destiné aux enfants tuberculeux riches. Mais les villégiateurs ne voulurent pas cotoyer des enfants malades, même riche. Ainsi l'institut fut transformé en hôtel de luxe: l'hotel Royal.

 

P1040699

 

 

P1040700

 

 

Cette villa, Esclarmonde, qui est un prénom féminin aujourd'hui peu usité mais fort répendu au moyen-age, est située sur la rue Pavie. Elle date de 1906. Elle a été réalisée par l'architecte Dommée dans un style médiéval teinté d'anglo-normand.

 

P1040701

 

 

P1040702

 

 

La villa "Les Gélinottes rue Pierre Loti et ses colonnes remarquables.

 

P1040705

 

 

Toujours avenue Pierre Loti, Regina de 1903.

 

P1040706

 

 

P1040707

 

 

35 avenue Pierre Loti, Pax, 1908, architecte Georges Lafont

 

P1040708

 

 

A l'angle de l'avenue Pierre Loti et François de Malherbe, Manon, 1905

 

P1040709

 

 

 

Ker Louise due en 1903 à l'architecte Georges Lafot était situé jadis dans un vaste parc.

 

 

P1040711

 

 

Le Pasteur, avenue Paul Glaize

 

P1040713

 

 

Au 12 de l'avenue Bouchardat, L'escale, architecte Adrien Grave, enduit écume, style paquebot.

 

P1040714

 

P1040715

 

Au 9 et 10 de l'avenue Bouchardat, Miss Helyett et Gaioik

 

P1040717

 

 

Ker Loti, angle de l'avenue Bouchardat et Pierre Loti, 1900, architecte Georges Lafont.

 

P1040720

 

 

P1040721

 

 

P1040722

 

23 avenue de la Concorde

 

P1040723

 

 

P1040724

 

 

Ker Vary, 38 esplanade François André de style breton due  en 1896 à l'architecte Georges Lafont.

 

P1040726

 

 

Le castel Marie-Louise, villa transformée en hotel (très bonne table).

 

P1040727

 

 

P1040730

 

 

P1040731

 

 

Ker Nole, avenue des lianes.

 

P1040733

 

 

P1040734

 

 

Le Tennis country club, 113 avenue de Lattre de Tassigny, à sa création en 1926, architecte Ferdinand Ménard, ce tennis avec ses 21 courts était le plus grand de la cote atlantique.

 

P1040736

 

La Baule, février 2021

 

Pour trouver un billet de ce même type sur le blog:

 

 

 

 

7 avril 2021

TROCA 84

 

PICT0120.JPG

 

PICT0121.JPG

 

PICT0122.JPG

 

PICT0125.JPG

 

PICT0126.JPG

 

PICT0127.JPG

 

PICT0130.JPG

 

PICT0131.JPG

 

PICT0133_2.JPG

 

PICT0134_2.JPG

 

PICT0135_2.JPG

 

PICT0138_2.JPG

 

PICT0139_2.JPG

Trocadéro, Paris, printemps et été 1984

Publicité
Publicité
Dans les diagonales du temps
Publicité
Archives
Derniers commentaires
Publicité