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Dans les diagonales du temps
2 juin 2020

Carnets de voyage au Musée de la poste

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Il y a des expositions qui vous font passer par de nombreux sentiments, ceux-ci n'étant pas directement liés aux oeuvres exposées mais aux souvenirs ou aux regrets qu'elle font naitre. Il en est ainsi pour la très belle exposition, malheureusement sur le point de fermer et que j'ai vue dans ses derniers jours, au musée de la poste, Carnets de voyage, sous-titrée Le monde au bout du crayon, sous-titre qui définit parfaitement cette manifestation. Les cimaises nous font voyager de Montreuil, le voyage peut commencer parfois au bout de votre rue, à des iles lointaines, dont avant de visiter cette exposition je n'avais jamais entendu parler, en passant par le Mali, Cuba, la Chine, l'Ecosse et moult autres endroits.

  

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Didier Locicero 

  

Carnets de voyage invite au jeu, un peu puéril mais inévitable, tout du moins pour ceux qui comme moi ont déjà bien sillonné la planète, à chercher les lieux où nous avons posé notre sac plus ou moins longtemps et plus ou moins récemment. J'ai ainsi reconnu Kyoto, Montreuil, New-York, Mombasa, Le Caire, Sète, le lac Atitlan, Lisbonne, Ouarzazate et j'ai cherché en vain d'autres contrées qui m'ont vu heureux...

  

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Damien Roudeau  

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Sète vu par Cathy Beauvallet 

  

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L'exposition rappellera à chacun combien le monde est vaste et beau et combien le temps pour le voyageur est compté, surtout s'il commence à être chenu. Nait donc de cette visite la nostalgie des voyages passés et la crainte de ne pas découvrir autrement qu'en images des lieux qu'ont croqué la quarantaine d'artistes qui expose au Musée de la Poste. On est également un peu frustré de rester si peu de temps avec certains d'entre eux, heureusement une bibliographie, à la fin du catalogue permettra de poursuivre un voyage en leur compagnie.

  

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Ces artistes voyageurs ne s'intéresse pas qu'aux beaux panoramas, ils ont même surtout croqué les hommes qui les parcourent et les habitent qu'ils soient padre du Vatican, dogon du Mali, ouvrier de Roumanie ou joueur de polo d'Argentine. Ils n'ont pas oublié non plus les animaux nombreux sont ceux, sauvages ou domestique qui ont croisé leurs carnets.

  

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Le commissaire de l'exposition a eu la bonne idée d'étendre considérablement la notion de carnets de voyage, ces objets sont néanmoins présents dans les nombreuses vitrines disséminée dans tout le parcours qui est proposé. Mais nous découvrons sur les cimaises, certes des pages de carnets mais aussi de grandes toiles, tirées des dessins préparatoires des carnets, des pages de scrapbook sur lesquelles se mêle dessin, aquarelle, écritures, billets de banque, photographies... A d'autres endroits se sont de véritables installations que le visiteur découvre.

  

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le Tibet vu par Samuel Chardon et Céline Roussel 

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Simon 

Si le papier "à dessin" bien naturellement est le support principal de tous ces travaux, il est loin d'être le seul. On s'aperçoit d'abord que les dessinateurs voyageurs pour s'exprimer utilise les moyen du bord, souvent pour agrémenter leurs oeuvres, mais aussi parfois parce qu'ils n'ont rien d'autre sous la main, comme un journal ou un papier d'emballage. On trouve aussi des peintures sur toile, mais plus inattendu sur bâche, sur écorces ou galets.

  

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Si j'avais déjà vu des dessins de plusieurs des artistes exposés, j'ai reconnu leur "patte". Je ne connaissais vraiment le travail que de deux d'entre eux, Florent Chavouet bien sûr et aussi Ferrandez pour ses bandes dessinées et son bel album consacré à Cuba. J'ai tout de même regretté l'absence de Loustal, Le Tan et de quelques autres... Cette exposition est une des manifestations actuelles, et c'est heureux, pour revaloriser le dessin.

  

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Patrick Serc 

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Cuba vu par Jacques Ferrandez 

Chose exceptionnelle la photographie ne semblait pas interdite. Comme vous le voyez, j'en ai profité au maximum. Malheureusement le fait que presque toutes les oeuvres aient été présentées sous verre ou dans des vitrines ne facilitait pas l'exercice. En outre l'éclairage de l'ensemble n'était pas exempt de reproches... Les noms des différents artistes apparaissent souvent très clairement sur mes photos, autrement j'ai essayé de mentionné les auteurs des autres images que les artistes veuillent bien m'excuser si certaines restent anonymes.

  

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New-York vu par Virginie Broquet 

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Denis Clavreul

  

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Un très beau catalogue, d'un prix assez modique, 24€, disponible après la fin de l'exposition, rend bien compte de la manifestation et permet de voir et de revoir confortablement chez soi des oeuvres dont beaucoup pour en tirer tout le suc doivent être examinées de près et tranquillement.

  

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le grand portrait est signé Anouchka Desseilles 

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Antonia Neyrins 

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27 mai 2020

Rouge au Grand Palais (2)

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<<Les sujets d'Alexandre Deineka sont pris tantôt dans la vie économique ou militaire (locomotive, chariots d'usines, ouvrière du textile, demoiselles du téléphone, mécanos, meetings, soldats, ballets aéronautiques, parachutistes),tantôt dans l'actualité politique (défense de Pétrograd, défilés de volontaires, arrestation d'officiers de l'armée blanche, procès pour sabotage), mais toujours dans la réalité de son pays, qu'il ramène, par un style dépouillé, austère, réduit à quelques lignes essentielles qui gomment l'anecdote, à la peinture du Quattrocento.>>

 

Dominique Fernandez, On a sauvé le monde

 

 

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Ce tableau qui ne le parait pas à première vue est un mensonge éhonté en 1937 et jusqu'à la fin du régime soviétique les automobiles particulières étaient fort rares. En 1937 les rues de Moscou ne ressemblaient pas à ce tableau.

 

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Avec ce tableau, on voit que le réalisme soviétique n'était en rien réaliste, l'automobile qui y est représentée est de 1935, pas vraiment à la pointe du design, alors que Lénine est mort en 1924. 

 

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Paris, mai 2019 

25 mai 2020

Rouge au Grand Palais (1)

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Rouge est d'abord une exposition qui m'a fait rajeunir on y parlait d'un pays qui a disparu, même si subrestissement il est peut être en train de renaitre. Ensuite j'ai pu enfin voir, n'ayant jamais été encore en Russie, une peinture dont j'avais beaucoup entendu parler sans jamais pu la voir: le réalisme soviétique. Ensuite j'ai pu vérifié ce que je savais déjà c'est que les russes savaient peindre et dessiner et ils le savent toujours leurs écoles d'art contrairement à beaucoup de celles d'occident ne pensent pas que ce soit superfétatoire de le savoir si l'on veut s'exprimer graphyquement. Enfin que beaucoup de ces artistes étaient des petits malins qui étaient prêt à devenir des virtuose du cirage de pompe pour quelques prébendes et aussi accessoirement pour sauver leur peau.

 

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23 mai 2020

Dogon au musée du quai Branly, sculptures 1

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Paris, avril 2011 

 

22 mai 2020

Dogon au musée du quai Branly, sculptures 2

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Paris, avril 2011

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19 mai 2020

Chefs-d'oeuvre de la collection Ralph Lauren au musée des Arts décoratifs

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Les vernissages hormis le fait qu'ils flattent les égos des bénéficiaires procurent peu d'avantages à ceux-ci. Néanmoins ils permettent presque toujours aux invités de faire des photos, alors qu'ensuite, cette benoite activité sera rigoureusement interdite. Ce fut le cas mercredi dernier pour la présentation de la collection de belles voitures sportives, qui semblent toutes neuves, du couturier Ralph Lauren, j'ai profité de cette autorisation et je suis heureux de vous en faire profiter.

  

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Paris, avril 2011

8 mai 2020

La Maison de Cocteau


La Maison de Cocteau 


C’est ici que vécut Jean Cocteau de 1947 jusqu’à sa mort en 1963.  Jean Cocteau acheta cette demeure, appelée autrefois la maison du gouverneur avec Jean Marais en 1947. 
Jean Cocteau y vêcut avec son compagnon Edouard Dermit, son ancien jardinier dit "Doudou". A partir de 1963, Edouard Dermit, en tant qu’héritier maintint les lieux en l'état. Il restera à Milly jusqu’à sa mort en 1995. 


Il faudra attendre 2002 pour que la maison sorte de son sommeil quand Pierre Bergé, que Edouard Dermit avait désigné comme titulaire exclusif du droit moral sur l’œuvre de Cocteau, la rachète et la restaure avec l’aide du Conseil régional d’Ile-de-France et du Conseil général de l’Essonne.

Le château voisin, vu du jardin de Cocteau

La maison de Cocteau vue du jardin

Trois pièces : le grand salon au rez-de-chaussée, la chambre et le bureau au premier étage ont été restituées telles que Cocteau les a laissées à sa mort et ce, dans les plus infimes détails : les meubles, les objets de décoration. 


Le grand salon

Plusieurs vues du grand salon, au rez-de-chaussée

Le bureau (au premier étage) 

La chambre (au premier étage)

Documents se rapportant au tournage du film "La Belle et la Bête".


Bernard Buffet (1928-99) : Portrait de Jean Cocteau (1955) 

Jacques-Emile Blanche (1861-1942) : Portrait de Cocteau

Marie Laurencin (1883-1956) : Portrait de Cocteau

Andy Warhol (1928-87) : Deux portraits de Cocteau




La Chapelle Saint-Blaise-des-Simples
La chapelle est l'unique vestige d'une maladrerie du XIIe siècle.

En 1959, Jean Cocteau, sollicité par les élus de la ville, décore l’intérieur de la chapelle. Le poète conçoit les fresques sur le thème de la Résurrection, et des plantes médicinales  (aconit, belladone, menthe, renoncule, valériane,...) 
Jean Cocteau est décédé à Milly le 16 octobre 1963. Il voulut être enterré dans ce lieu ; son corps fut transféré en 1964 dans la chapelle qu'il avait décorée. Elle abrite depuis le portrait en bronze que Arno Brecker avait réalisé quelques mois auparavant, et la dalle sur laquelle figure l'épitaphe célèbre de l'académicien : « Je reste avec vous. »

Deux grandes gentianes, et la menthe de Milly autour de la porte d'entrée. 

Fresque de la Résurrection au-dessus de l'autel

Le visage du Christ en croix au-dessus de l'autel

La tombe de Jean Cocteau et Edouard Dermit

Buste de Jean Cocteau par Arno Brecker

Les simples sur le mur nord : la jusquiame, la belladone, la valériane, et la guimauve.

Les simples sur le mur sud : l'arnica, la renoncule, la colchique, et l'aconit.

La signature de Jean Cocteau, à droite de la porte.

L'un des vitraux conçus par Jean Cocteau
ci-dessous un petit film réalisé lors de la vente de la succession de Jean Marais dont beaucoup d'objets ont trouvé aujourd'hui refuge dans la maison de Cocteau.
4 mai 2020

Art Paris 2015 (2)

 

Art Paris 2015 (2)
Art Paris 2015 (2)
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Art Paris 2015 (2)
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Art Paris 2015 (2)
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Art Paris 2015 (2)
un nouveau Pierre et Gilles, remarquez les noisettes incrustées dans le gazon synthétique du cadre

un nouveau Pierre et Gilles, remarquez les noisettes incrustées dans le gazon synthétique du cadre

Bisky

Bisky

Art Paris 2015 (2)
Art Paris 2015 (2)
Art Paris 2015 (2)
Art Paris 2015 (2)
Hur Kyung-Ae

Hur Kyung-Ae

la sculpture en miroir à gauche est réalisée "floue"

la sculpture en miroir à gauche est réalisée "floue"

Art Paris 2015 (2)
deux Erro tout neuf

deux Erro tout neuf

et ce coiffeur chinois du même beaucoup plus ancien

et ce coiffeur chinois du même beaucoup plus ancien

Art Paris 2015 (2)
Art Paris 2015 (2)
Art Paris 2015 (2)
Art Paris 2015 (2)
Stéphanie Quayle démontre que l'on peut renouveler la sculpture animalière

Stéphanie Quayle démontre que l'on peut renouveler la sculpture animalière

Art Paris 2015 (2)
Art Paris 2015 (2)
Art Paris 2015 (2)
Art Paris 2015 (2)
Art Paris 2015 (2)
remarquable série d'Andreas Chwatal

remarquable série d'Andreas Chwatal

Art Paris 2015 (2)
Art Paris 2015 (2)
Geluk et son chat facétieux

Geluk et son chat facétieux

Art Paris 2015 (2)
Art Paris 2015 (2)
trois tableaux de Sam Szafran belle exposition personnelle chez Claude Bernard

trois tableaux de Sam Szafran belle exposition personnelle chez Claude Bernard

Art Paris 2015 (2)
Art Paris 2015 (2)
Art Paris 2015 (2)
The Kid propose une relecture de ganymède

The Kid propose une relecture de ganymède

3 mai 2020

Art Paris 2015 (1)

 

Art Paris 2015 (1)
Art Paris 2015 (1)
Art Paris 2015 (1)
Art Paris 2015 (1)
Art Paris 2015 (1)

Cette année Art Paris a eu la bonne idée de profiter véritablement dy bâtiment somptueux où il a lieu, le Grand Palais, en projetant des images sur sa façade, offrant aux parisien une gigantesque installation.

Je préfère Art Paris à la FIAC. On y trouve moins de galerie du second marché et Art Paris est à la fois moins influencé par la mode et par le snobisme de ce qu'il est convenu d'appeler l'Art Contemporain. Surtout il y a plus de galeries qu'à la FIAC qui présente des expositions personnelles.

Cette année en de la porte d'entrée on découvre celle de Fromanger, ce qui n'est pas pour me déplaire...

 

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Fromanger

Fromanger

Autre très belle exposition personnelle celle de Pincemin...

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Art Paris 2015 (1)
Art Paris 2015 (1)
Pincemin

Pincemin

Shozo Shimamoto

Shozo Shimamoto

Frank Maier

Frank Maier

David Bromley

David Bromley

Art Paris 2015 (1)
Phil Shaw

Phil Shaw

Les oeuvres de Phil Shaw m'ont particulièrement réjoui. L'artiste prend de vieux volumes reliés (anglais de l'entre deux guerres) et bidouille (je ne sais pas comment) pour en changer le titre et l'auteur. Je rêve d'avoir Derrida ou Foucault avec ces jolies reliures dans ma bibliothèque... 

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Art Paris 2015 (1)
Pour les deux tableaux immédiatement ci-dessus, je ne connais pas le nom de cet émule de Le Gac.

Pour les deux tableaux immédiatement ci-dessus, je ne connais pas le nom de cet émule de Le Gac.

Julian Opie

Julian Opie

Art Paris 2015 (1)
Art Paris 2015 (1)
Art Paris 2015 (1)
photos de Ruud van Empel

photos de Ruud van Empel

Paris, mars 2015

Paris, mars 2015

30 avril 2020

Au temps de Klimt, La sécession à Vienne à la Pinacothèque de Paris

 

Au temps de Klimt, La sécession à Vienne à la Pinacothèque de Paris

 

 

 

Je suis toujours assez circonspect avec les expositions de la Pinacothèque de Paris. Si les titres sont presque toujours engageants et les choix des expositions audacieux le résultat certes jamais inintéressant est rarement à la hauteur des titres ronflants des manifestations. C'est encore un peu le cas cette fois, avec "Au temps de Klimt, La sécession à Vienne". Car si le nom d'appel est Klimt on ne voit guère que deux peintures originales du chef de la Sécession car la frise Beethoven est une reproduction à l'échelle 1. Hormis Judith de 1901, on ne voit pas à la Pinacothèque le Klimt ultra célèbre de l’époque dorée. Peu de choses, mais belles des deux autres grands nom du mouvement Egon Shiele et Kokoshka. En revanche de très belles pièces de peintres moins connus dans nos parages comme Josef Engelhart, Carl Moll, Elena Luksch-Makowsky... La bonne idée de l'exposition est de nous montrer l'art appliqué de la Sécession et ses points communs avec l'Art and craft anglais. Aux peintures se mêlent beaux objets en porcelaine, éléments d'architecture et meubles. La présentation est très pédagogique. La plupart des oeuvres, près de 200, proviennent du musée du Belvédère de Vienne dont le conservateur Alfred Weidinger est le commissaire de l'exposition. 

Les cartouches sont clairs et consistant, inutile de prendre l'audioguide qui n'est guère que leur doublon. Les photos sont férocement interdites d'où la pauvreté en image de ce billet. Malgré un prix de billet élevé, 16,50€, l'affluence est grande. Je vous conseille de prendre vos places à l'avance. Elles servent alors de coupe-file. 

 

Karl Moll

Karl Moll

Klimt

Klimt

Josef Hoffmann, élément d'architecture

Josef Hoffmann, élément d'architecture

Egon Shiele

Egon Shiele

Au temps de Klimt, La sécession à Vienne à la Pinacothèque de Paris
Au temps de Klimt, La sécession à Vienne à la Pinacothèque de Paris
frise Beethoven, détail, Klimt

frise Beethoven, détail, Klimt

frise Beethoven, détail, Klimt

frise Beethoven, détail, Klimt

Klimt

Klimt

Klimt

Klimt

Josef Engelhart

Josef Engelhart

Elena Luksch-Makowsky

Elena Luksch-Makowsky

Elena Luksch-Makowsky (détail)

Elena Luksch-Makowsky (détail)

Elena Luksch-Makowsky (détail)

Elena Luksch-Makowsky (détail)

Au temps de Klimt, La sécession à Vienne à la Pinacothèque de Paris
Au temps de Klimt, La sécession à Vienne à la Pinacothèque de Paris
Au temps de Klimt, La sécession à Vienne à la Pinacothèque de Paris
Au temps de Klimt, La sécession à Vienne à la Pinacothèque de Paris
Paris, mars 2015

Paris, mars 2015

 

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