Paris + par Art Basel 2023 (2 et fin)
Paris + par Art Basel 2023 (1)
de Stael
Hélion
Hélion
Hélion
Hélion
Hélion
Gorin
Egon Shiele
Le Corbusier
Kandinsky
Paris, octobre 2023
Pour retrouver Paris+ par Art Basel
Over the Rainbow au Centre Pompidou (2)
Over the Rainbow au Centre Pompidou (1)
Si on ne peut que se réjouir de voir une exposition dans une grande institution qui accroche les dessins érotiques de Cocteau qui, pour moi est, et de loin, le meilleur de son oeuvre, où enfin on rend hommage, un peu à minima tout de même, à Jean Boullet. Une expostion qui ne fait pas de Marie Laurencin seulement la faire valoir d'Appolinaire et qui montre le beau talent de portraitiste de Romaine Brooks, il est difficile à contrario de ne pas remarquer que pour le commissaire Nicolas Liucci-Goutnikov l'homosexualité commence à 25 ans, ne cherchez pas dans cette manifestation des représentations affriolantes de jeunes personnes (visitez plutôt régulièrement ce blog), Goor et Gourlier sont inconnus de ce monsieur, curieusement les représentations de musculeux atlhètes sont également peu présentes. Autre point qui me chiffonne un cartouche à l'entrée se vante d'utiliser que des pièces venant du musée, ce qui s'avère faux si on lit attentivement d'autres cartouches tout au long de l'exposition mais alors comment expliquer l'absence par exemple de photos d'Hervé Guibert et que Pierre et Gilles ne soient représentés que par leur travail mineur sur le photomaton et par des polaroidss préparatoire pour une oeuvre que l'on ne voit pas dans l'exposition. Enfin ce qui est le plus dérangeant pour une exposition je cite: << L'exposition donne à voir des oeuvres longtemps occultées pour des raisons de censure.>>. En matière de frilosité, on frise le ridicule quand on voit que Gloeden, qui était difficilement évitable est relégué avec une photo qui n'engage à rien dans une vitrine, photo perdue au milieu d'autres documents ou quand le fameux supplément de jadis de Libération, le Sandwich célèbre pour ses annonces chaudes de rencontres est présenté ouvert à une page particulièrement anodine. Ne vaudrait il pas mieux une censure qui ose dire son nom à l' autocensure un peu minable qui préside à Over the raimbow et puis pourquoi ce titre en anglais alors que l'on entend dans les salle jamais Judy Garland mais la Solidor (amusante la petite salle consacrée à la chanson). Le catalogue est incomplet et particulièrement moche.
Gloeden
Paris, septembre 2023