L'artiste au travail

Les plus anciens visiteurs de mes blogs savent mon intérêt pour les anciennes figurines de plomb; j'en suis moi même un petit collectionneur (petit en raison de ma grande misère). Dans les billets ci-dessous vous pourrez en retrouver des images.

Paris, avril 2012

• Musée Iber, des figurines des soldats de plomb à Valence 
• Musée Iber, des figurines et des soldats de plomb à Valence (2) 
• Musée Iber, des figurines des soldats de plomb à Valence 

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    L'UNIVERS PIXI D'ALEXIS POLIAKOFF AU MUSÉE MAILLOL 
  • Exposition Hergé au Grand Palais (1) 

URSS, 1966, 1h 40mn

Réalisateur : Gennadi Poloka, Scénaristes : Grigori Belykh, Leonid Panteleyev

avec : Sergey Yurskiy, Yuliya Burygina, Pavel Luspekayev
Pays : Union soviétique

Résumé

Des garçons de gangs des rues de Saint-Pétersbourg, en Russie, sont apprivoisés et éduqués à l'école SHKID - Dostoïevski.

Avis critique :

Avec ce film nous avons à faire à un pur film de propagande soviétique, qui plus est d'une propagane nostalgique; car le film est situé à Pétrograd au début des années 20 Dans tout le pays, comme le rapporte le générique, quatre millions d'enfants sont sans abri. Les délinquants juvéniles sont capturés par la Cheka et envoyés dans des internats et des colonies fermées  dans les années 1920 à St Petersbourg, le scénario est tiré d'un livre écrit à cette époque alors que ce film a été réalisé dans les années 60. On nous parle des pauvres enfants abandonnés qui grandissent pour devenir des garçons de la rue, ne faisant confiance à personne, sans amour, mais espiègle. Mais cependant, ils seront sauvé par maître d'école d'un orphelinat qui est très compatissant et extrêmement patient face à tous ces d'enfants dont les parents sont morts par suicide ou par exécution, entre autres. Ce brave homme est conscient de l'espoir qui se cache sous les enfants grossièretés et l'ingratitudes. Il est persuadé qu'ils deviendront de bon citoyen. Fermez le ban! Le plus curieux c'est qu'au delà de la lourde propagande on peut croire qu'il a été réalisé à la fin des années 20 au début du parlant aussi bien par la réalisation qui fait penser au cinéma expressionniste de cette époque que par le jeu des acteurs dans le plus pur style outré des films muets... mais il y a quelques images agréables dans cette absolue curiosité sorte de pastiche des films du début du cinéma parlant.

Montpoupon n'est certes pas le château de la Loire le plus célèbre, il est cependant d'une très agréable visite. C'est un château Renaissance construit sur un ancien château fort.  Il est situé entre Loche et Montrichard. Comme la plupart des château de la région. Il s'agit d'une propriété privée. Il n'ouvre à la visite que les samedis et dimanches. Si vous avez la chance lors de votre visite de croiser les actuels propriétaires du lieu, le comte Amaury de Louvencourt ou la comtesse vous vous apercevrez que la tradition de l'accueil dans les chateaux ne s'est heureusement pas perdu. La riche idée des Louvencourt a été dans le cadre d'une visite libre, de la sonorisée ainsi les commentaire audio vous plonge dans l’intimité familiale des propriétaires du château, au travers de pièces encore richement meublées. Ces commentaires audios brosse le tableau de la vie d'un hobereau (ce terme n'a rien de péjoratif chez moi) aisé avant guerre. Ainsi Bernard Charles Marie de la Motte Saint-Pierre, grand modernisateur du lieu, raconte l'histoire de château à sa fille unique Solange grande tante de l'actuel propriétaire auquel elle a légué le domaine. La passion des la Motte Saint-Pierre puis des Louvencourt étant la vènerie une grande partie des dépendances sont devenues au fil des temps un joli musée de la vénerie.

La salle à manger est décorée de poutres peintes en camaïeux de gris, signe de deuil après la mort du Roi Henri III, comme le plafond de la chambre de son épouse au Château de Chenonceau, la Reine Louise de Lorraine.

Aménagée au XIXe siècle, la cuisine du château servira jusqu’en 1977, date du départ de la dernière cuisinière. Fourneau du XIXe avec chauffe-plat, mini-four, écrémeuse, sorbetières, moules à faisselles et une collection de plus de 150 casseroles et éléments en cuivre d’époque… la cuisine du château est prête à reprendre du service ! 

une vue du pigeonier

La salle Hermes:Depuis sa création, Hermès a toujours entretenu des rapports étroits avec le monde équestre, accompagnant les traditions de vènerie à travers des générations.

Harnacheur depuis 1837, Hermès devient sellier en 1880. Dédiée au savoir-faire spécifique de cette prestigieuse maison, cette salle présente les différentes étapes de fabrication d’une selle Hermès.

Sur les pans de murs, de nombreux carrés Hermès sont exposés. On y admire aussi bien la richesse des dessins que la maîtrise d’un savoir-faire français : l’impression au cadre, dite à la lyonnaise. Une salle que ne manqueront pas les fashionistas !

 La chapelle

Montpoupon, avril 2022