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Dans les diagonales du temps
japon
8 mai 2021

Toyohara Chikanobu


 
 fleurs de cerisier en fleurs au parc Ueno."

La politique du Japon - à la fois interne et internationale - était compliquée et très troublée au moment de l'accession de l'empereur Meiji en 1867. Selon le Nihon Shoki , l'histoire classique du Japon, la nation a eu un empereur depuis 660 avant JC, mais pendant près de sept cents ans avant la restauration Meiji, le Japon était en fait contrôlé par un shogunat, les empereurs étaient vénérés mais pratiquement impuissants. Mais avec l'ouverture forcée du commerce avec les États-Unis dans les années 1850, les anciens systèmes de gouvernement s'étaient révélés peu adapté face à l'agression occidentale, et le pouvoir du Shogun était attaqué. Finalement, en 1868, après plus d'une décennie de troubles, le nouvel empereur, âgé alors de quinze ans seulement, fit une déclaration formelle de restauration de son pouvoir, une restauration de la règle impériale au Japon. Au cours des années suivantes, il a supervisé (en fait plus son entourage que lui-même) aux changements radicaux dans les structures politiques, militaires et sociales du pays, qui méneront le Japon à se transformer d'une société féodale et isolationniste en une puissance internationale moderne.


 L'empereur Meiji, sa femme et le prince Haru."

 


Les images de Chikanobu de l'empereur, de l'impératrice et des dames de la cour impériale sont un exemple frappant de la volonté du dirigeant d'occidentaliser le Japon. La tenue de cour et les uniformes pour hommes, inspirés des modèles européens, ne furent décrétés que trois ans après la Restauration. Bientôt, aussi, les dames à la mode de la classe supérieure, inspirées par l'impératrice, ont commencé à porter des vêtements occidentaux en public. Et en 1886 - juste avant les images ci-dessus - les tribunaux ont établi des règles pour les tenues de soirée pour les femmes. Ironiquement, Chikanobu, qui a si brillamment décrit la mode européenne somptueuse dans son travail ici, en est venu à regretter profondément les changements dans son pays, l'occidentalisation toujours croissante, la perte de sa culture traditionnelle.

"Floraison de chrysanthèmes dans un jardin à l'automne."

 

"Excursion pour voir les fleurs de cerisier au bord de la rivière Sumida."
"L'empereur Meiji, l'impératrice, le prince héritier  en vêtements occidentaux."
"L'empereur Meiji se prépare à quitter le palais dans la calèche Phoenix."
"Empereur et impératrice Meiji - Couleurs d'automne."

 jardin rafraîchi après la pluie."

 

"Une scène de la diète japonaise."

 

"Un concours de dames élégantes parmi les fleurs de cerisier."

 

"Enfants jouant dans la neige sous les pruniers en fleurs."

 

"Procession devant le palais impérial de Tokyo avec l'empereur Meiji et son épouse."

 Promulgation de la constitution.

 

"L'empereur, l'impératrice, le prince héritier et les dames de la cour lors d'une sortie au parc Asuka."

 

 le jardin des pruniers."

 

"Visite de l'impératrice à la troisième exposition nationale de promotion industrielle au parc d'Ueno."

"L'empereur Meiji, l'impératrice, le prince héritier et les agents de la cour en vêtements occidentaux / couple royal avec des chrysanthèmes."

 

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"L'Empereur apprécie une soirée fraîche."

 


 

Toyohara Chikanobu (豊 原 周延, mieux connu de ses contemporains sous le nom de Yōshū Chikanobu 楊 洲 周延, nom avec lequel il signe son œuvre: 1838–1912), graveur sur bois de la période Meiji au Japon. Né dans la préfecture de Niigata sous le nom de Hashimoto Naoyoshi (橋本 直 義), il était l'aîné de deux enfants, son père était un serviteur du puissant clan de samouraï Sakakibara dans la province d'Echigo. Il a montré des capacités artistiques en tant que jeune enfant et a suivi des cours avec des professeurs respectés. Il s'est également entraîné aux arts martiaux et, après l'effondrement du shogunat Tokugawa, il a rejoint le Shōgitai , un corps de combat d'élite, et est devenu célèbre pour sa bravoure au combat. En 1871, trois ans après le début de l'ère Meiji, il s'établit à Tokyo en tant qu'artiste professionnel. Il avait étudié plusieurs genres de création artistique, mais était le plus attiré par l' ukiyo-e.* Son sujet présentait une grande variété, allant de la mythologie japonaise aux scènes de bataille en passant par la mode féminine, des scènes de catastrophes naturelles aux portraits d'acteurs. Il a illustré des événements à la fois contemporains et historiques. Il a eu beaucoup de succès, mais au cours de la dernière décennie du siècle, lui et une grande partie de son public étaient consternés par les changements rapides qui se produisaient à Tokyo et étaient de plus en plus nostalgiques du monde perdu du Shogunat, et son travail ultérieur reflète cette nostalgie. . Ses dernières œuvres comportaient des images considérées alors comme rétrogrades des courageux samouraïs et des femmes héroïques du passé du Japon. A partir de 1905, sa production a diminué. Il est mort d'un cancer de l'estomac à l'âge de soixante-quinze ans.

Nota
*

L'ukiyo-e (浮世絵?terme japonais signifiant « image du monde flottant ») est un mouvement artistique japonais de l'époque d'Edo (1603-1868) comprenant non seulement une peinture populaire et narrative originale, mais aussi et surtout les estampes japonaises gravées sur bois.

Après des siècles de déliquescence du pouvoir central suivis de guerres civiles, le Japon connaît à cette époque, avec l'autorité désormais incontestée du shogunat Tokugawa, une ère de paix et de prospérité qui se traduit par la perte d'influence de l'aristocratie militaire des daimyos, et l'émergence d'une bourgeoisie urbaine et marchande. Cette évolution sociale et économique s'accompagne d'un changement des formes artistiques, avec la naissance de l’ukiyo-e et les techniques d'estampe permettant une reproduction sur papier peu coûteuse, bien loin des peintures telles que celles de l'aristocratique Kanō.

Les thèmes de l’ukiyo-e sont également tout à fait nouveaux, car ils correspondent aux centres d'intérêt de la bourgeoisie : les jolies femmes et les oiran (courtisanes) célèbres, les shunga (scènes érotiques), le théâtre kabuki et les lutteurs de sumo, les yōkai (créatures fantastiques), les egoyomi (calendriers) et les surimono (cartes de vœux), le spectacle de la nature et des meisho-e (lieux célèbres).

Alors qu'il passe au Japon pour vulgaire de par sa valorisation de sujets issus du quotidien et de sa publication de masse liée à la technique d'impression de l'estampe, ce genre connaît à la fin du xixe siècle un grand succès auprès des Occidentaux. Après l’ouverture forcée par l'attaque des Navires noirs américains et la signature du traité inégal de la Convention de Kanagawa, le pays est forcé d'accepter le commerce avec le monde occidental (États-Unis, Royaume-UniFrancePays-Bas et Russie) à partir de 1858. L'arrivée en grande quantité de ces estampes japonaises en Europe et la naissance du japonisme influencent alors fortement la peinture européenne et, en particulier, l'école de Pont-Aven avec Camille PissaroPaul CézanneÉmile Bernard puis Paul Gauguin2, et les impressionnistes.

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4 mai 2021

Noël Nouët

Noël Nouët faisant un croquis dans Tokyo en 1932

 

Sa mère collectionne les estampes de Hiroshige, obtenues d’un ancien consul général au Japon. En 1900, Noël Nouët s'installe à Paris pour écrire de la poésie et rencontre dans les salons parisiens plusieurs artistes japonais comme TekkanAkiko YosanoTakashi TatsunoYaso Saiji

Il va au Japon pour enseigner à l’école secondaire de Shizuoka en 1926. Après être retourné en France en 1930, il revient au Japon comme professeur à l’école des Langues Étrangères de Tokyo. Là, il commence à faire des croquis des quartiers de Ginza et Kanda et recherche les endroits peints par Hiroshige. Ses dessins sont publiés dans le magazine France et dans le quotidien Japan Times ainsi que dans des livres sur le Japon et sur des cartes postales.

Nouët fréquente nombre d’artistes dont le peintre Ishii Hakutei, l’écrivain Nagai Kafû et la poétesse Yosano Akiko. Il arpente les rues de la capitale à la recherche des lieux dépeints par Hiroshige ; il dessine les quartiers de Ginza, de Kanda et du Palais impérial, publiés dans le Japan Times ou sous forme de recueils par la Maison Franco-Japonaise en 1937, sous le titre Tokyo, ville ancienne, capitale moderne, cinquante croquis. L’éditeur Doi Teiichi lui commande en 1936 une série de 24 estampes sur bois shin-hanga. Impressionnés par le talent de Nouët, ses amis le surnomment Hiroshige IV.

 

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Le style de ses croquis de Tokyo devient populaire et Doi, un éditeur tokyoïte, en fait graver des estampes sur bois (Shin-Hanga). Pendant la Seconde Guerre mondiale, il reste au Japon. Sa maison dans le quartier de Kojimachi brûle dans le grand raid aérien de mars 1945. Cependant, il poursuit ses croquis et exécute des dessins de paysages ruinés de Ginza, Ueno, reproduits dans son album publié à compte d’auteur, Tokyo, 50 dessins.

 

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Après la guerre, il enseigne à l’université Waseda de Tokyo et dans d’autres écoles et universités. Il est aussi tuteur de français de l’empereur Akihito en 1951. En 1961, il publie Histoire de Tokyo, traduit en anglais trente ans plus tard sous le titre The Shogun’s City : a History of Tokyo. Nouët rentre à Paris en 1962 où il meurt le 2 octobre 1969.

 

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22 avril 2021

un soir à Tokyo, quartier Akaihabara

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Tokyo, Japon, octobre 2011 

 

21 avril 2021

MATHURIN MÉHEUT, VOYAGE D'UN PEINTRE BRETON AU JAPON

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C'est lors d'une de mes errances à la FNAC des Halles à Paris, librairie où je traine plus que je n'achète, préférant pour mes emplettes des librairies d'une taille plus humaines et plus compétentes, que j'ai découvert un album sur un peintre dont à ma grande honte j'ignorais tout. Le livre, qui est bien nommé, est "Mathurin Méheut, voyage d'un peintre breton au Japon", le titre ne ment pas sur la marchandise. L'album se compose essentiellement des croquis que notre Mathurin Méheut (1882-1958) a pris sur le vif lors de son voyage et des reproductions des toiles, que bien après son périple, il a réalisées en France se souvenant des paysages japonais. Malheureusement son escapade japonaise a été écourtée par la guerre de 14 et l'artiste a du quitter l'archipel pour combattre en France, ce qui nous prive de ses images sur Tokyo où il n'a pas eu le temps d'aller. Méheut a donc principalement croqué Nara, Kyoto et Miya Jima. Notre peintre avant ce voyage, réalisé grâce au mécénat, n'était jamais sorti de France, ce qui nous vaut des considérations d'une grande fraicheur sur le pays qu'il découvre. Maleureusement les descendants de l'artiste, grâce leur soit rendue pour avoir exhumé les merveilles de leur aïeul, n'ont pas laissé toute la place qu'ils auraient pue aux lettres illustrées que le peintre envoyait à ses proches. Ils ont trop souvent pris cette précieuse place pour raconter leurs recherches et comme ils ne semblent pas avoir inventé le chouchen, cela n'a strictement aucun intérêt. Il n'en reste pas moins que ce superbe album est indispensable à tous les amoureux du Japon et de la peinture, ce qui devrait faire pas mal de monde.

Le livre m'a d'autant touché que Méheut  a peint des lieux où je me suis rendu presque un siècle après lui et que j'ai photographiés parfois presque du même angle qu'il les a peints. Un bel album à ranger entre ceux de Florent Chavouet (voir ce billet interview de Florent Chavouet )  et de Rémi Maynègre (Voyage au Japon,Tokyo de Rémi Maynègre et Sandrine Garcia ).

 

Nota: Il y a jusqu'au 29 décembre 2012 au musée Mathurin Méheut à Lamballe une exposition sur le voyage du peintre au Japon intitulé Empreinte d'un voyage au Japon.

 

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sanctuaire Yasaka à Kyoto

 

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le port d'Osaka

 

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teinturiers à Osaka

 

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escaliers bordés de lanternes de pierre à Kasuga, Nara

 

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torii et lanternes de pierre à Kasuga, Nara

 

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galerie rouge à Nara

 

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Kongo, gardien de gauche de l'entrée sud du Todai-ji, Nara

 

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fontaine du temple de Miyajima

 

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Torii dans la mer à Miyajima

 

Pour retrouver Méheut sur le blog:

 

7 avril 2021

LA JEUNESSE REBELLE JAPONAISE PHOTOGRAPHIÉE EN 1964 PAR MICHAEL ROGIER

 

Dans de nombreux romans de Murakami se déroulant dans les années 60 apparait cette jeunesse japonaise qui se révolte contre les pesanteurs de la société. En 1964 le photographe américain Michael Rogier est allé, pour Life à Tokyo pour la photographier.

 

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26 mars 2021

MANDARAKE À TOKYO

 


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Mandarake est un nom qui fait rêver tous les amateurs de manga de par le monde. C'est le nom d'une chaine de magasins de librairies spécialisées dans les mangas et de tout ce qui tourne autour. A Tokyo même, il y en a plusieurs. Je me suis rendu dans la plus ancienne, la maison mère en quelque sorte. Elle se trouve dans le quartier de Nakano.

 

 

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On accède à ce graal de l'otaku par une galerie commerçante appelée Nakano broadway, sorte de rue couverte riche en magasins vendant entre autres des atours pour la jeunesse nipponne qui est très fashon victime et fait ses emplettes en musardant... On ne peut pas la rater, Nakano broadway est juste en face de la sortie de la station de métro Nakano qui est le terminus de la ligne Tozai. Il faut se résoudre à quitter l'indispensable Yamanote et changer à Shinjuku. Pour Mandarake, une fois dans Nakano broadway, il faut monter jusqu'au 3F et au 4F.

 

 

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Il ne faudrait pas penser que cette adresse mythique serait réservée qu'aux fans de bande dessinée; tous les amoureux du dessin devraient y aller faire un tour. Ils ne sauront pas où donner de la tête, mais attention au Japon tous les mangas sont sous cellophane, donc pas question de feuilleter. Il faut faire son choix un peu, paradoxalement, les yeux fermés.

 

 

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Il ne s'agit pas d'un seul grand magasin mais d'une juxtaposition de petites boutiques serrées les unes contre les autres sur deux étages. Chacune ayant sa spécialité, Il y en a une réservé aux yaoi, manga d'histoires de garçons qui aiment les garçons...

 

 

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Plusieurs autres sont dévolues aux figurines. Très belles collections d'extra-terrestres. Attention certaines officines ne vendent que des antiquités dans le domaine des joujoux et ainsi certains martiens et autres dragons des années cinquante et soixante, si vous voulez les acquérir, peuvent sérieusement attaquer le budget de votre séjour. Des figurines de héros d'anciens mangas peuvent atteindre plusieurs centaines d'euros...

 

 

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Les accumulations de figurines m'ont fait penser au grand accumulateur qu'était Arman...

 

 

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des bébés shokobo. On trouve aussi de beaux exemples du futur d'hier...

 

 

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Egalement assez couteux sont les mangas d'antan, il nous renseigne sur l'évolution de ce médium.

 

 

 

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Toujours pour vider votre compte en banque il y a aussi une boutique qui vend des dessins originaux de mangakas y compris parmi les plus célèbres. Tout cela  transforme certaines de ces boutiques en magasins d'antiquité et en musée.

 

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Il y a aussi des objets beaucoup plus abordables comme ces personnages de Dragon ball 

 

 

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Il y avait aussi un Godzilla et un king-kong japonais qui malmenaient un des joyaux de l'architecture militaire japonaise. On peut aussi acheter à Mandarake des fanfreluches pour se transformer en personnage de manga ou d'animé.

 

 

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Et toujours des chats...

 

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Tokyo, avril 2010

 

Et un joli minou...

18 février 2021

DEUX AMIS DANS LE MÉTRO DE TOKYO

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Tokyo, Japon, avril 2010

17 février 2021

LES CORBEAUX DU PARC UENO À TOKYO

J'ai toujours aimé les corbeaux. Je trouve ces oiseaux très intelligents sympathiques. Cet amour des corbeaux me fait encore aimer davantage le Japon qui semble leur terre d'élection en particulier les nombreux parc de Tokyo et celui de Ueno en particulier. Pour moi leurs cris sont indissociables de l'archipel. J'ai remarqué que le corbeau nippon n'a pas tout à fait le même profil que les notres, sinon pour leur ramage c'est itou...

 

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Tokyo, avril 2010

13 janvier 2021

LES LANTERNES DE PIERRE DU SANCTUAIRE SHINTO KASUGA TAISHA À NARA

11 janvier 2021

Ginza dans les années 50

Tokyo-1950s

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