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Dans les diagonales du temps
9 décembre 2021

Allégorie de l'amour vertueux - deux versions d'Alessandro Rosi, vers 1660

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Alessandro Rosi (28 décembre 1627, Rovezzano - 19 avril 1697, Florence), artiste italien de la période baroque. On sait peu de choses de sa vie et son travail avait tendance à être confondu avec celui des autres. Il se forme dans les ateliers de Jacopo Vignali et Cesare Dandini, avec d'autres jeunes artistes florentins comme Carlo Dolci ; ses premiers travaux montrent l'influence de son maître Dandini, notamment dans le traitement des draperies. Il semble qu'il ait également entrepris un voyage d'étude à Rome, où il a vu le travail de Simon Vouet et Giovanni Lanfranco. Rosi bénéficie du patronage de certaines des plus importantes familles florentines de l'époque, comme les Corsini ou les Rinuccini, pour lesquelles il entreprend de grands projets décoratifs. Il réalisa également une série de dix dessins de tapisseries commandés par Cosme III de Médicis, grand-duc de Toscane. Son principal élève était Alessandro Gherardini. Il mourut à l'âge de soixante-dix ans après avoir été heurté par la chute d'une colonne alors qu'il marchait le long de la Via Condotta à Florence.

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9 décembre 2021

TAKANO, Ryudai

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TAKANO, Ryudai est né à Fukui, Japon en 1963. Il sort diplômé de l'Université Waseda, Faculté de science politique et en économie, en 1987. Il est récipiendaire de la 31e Kimura IHEI photographique prix au Japon (2006). Takano  a déjà eu   de fréquentes expositions personnelles à Tokyo, y compris au-Zeit Foto Salon et il tempo. Ses œuvres ont été inclus dans les musées et de expositions de groupe , en Turquie,  Chine, Espagne, Allemagne, Israël, Corée, Danemark. Au Japon certaines ont été acquises par le Tokyo Metropolitan Museum of Photography et la Fondation du Japon.


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9 décembre 2021

Alex Kalderach (1880 – 1965 )

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8 décembre 2021

sur la plage de Port de Pollença

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Port de Pollença, Majorque, septembre 2021

8 décembre 2021

La potiche à peur en rouge de Pierre Jourde

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Depuis juin 2018, je me désole de la disparition des ondes de France-culture des Papous dans la tête. Certes on peut retrouver les anciennes émissions à l'adresse suivante: L'émission Des Papous dans la tête sur le site de France Culture [archive]

Mais ce n'est tout de même pas pareil. Une des contraintes que je préfèrais, était l'homophonie bien tempérée et voilà, O joie, que je retrouve cet hilarant exercice littéraire dans "La potiche à peur en rouge" de l'huysmansien distingué qu'est Pierre Jourde. La lecture de Huysmans, problématique sans un bon dictionnaire sous le coude, même pour un érudit comme Pierre Jouve, a du lui inspirer pour se détendre, ces drolatiques fables express dont voici deux exemples:

 

 

Le second conseillait au maitre d'équipage,

Dont le vit monstrueux ne restait jamais sage,

De cesser d'enfiler d'antiques matelots

Pour se glisser au fond d'un joli petit lot.

L'étroit mousse queutard! 

 

 

Jacques Duclos, ce nabot fanatique,

ce stalinien rompu aux ruses dialectiques,

Tartuffe aussi perfide que sectaire,

Visita un jour la raffinerie de Berre

Nains sectaire et fourbe dans Berre 

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8 décembre 2021

Jean Jacques Lagrenee. Französisch 1739-1821, Mercure

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pour retrouver Lagrénée sur le blog:

 

8 décembre 2021

5 More Minutes avec Jared Borek et Ellis Davis photographiés par Chris Fucile

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Pour voir d'autres photos de Chris Fucile:

 

8 décembre 2021

Madres paralelas un film de Pedro Almodovar

 

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Almodovar est un grand cinéaste de l’impur. Impur dans le genre de son film qui mêle le mélodrame, il faut bien le reconnaitre à la grosse ficelle très élimé, au drame historique. Pour la première fois dans son oeuvre, il aborde le sujet qui fracture l’Espagne profondément, la guerre civile. Impur dans l’essence de ses personnages, jamais noir ou blanc et même pas gris mais qui chacun ont leurs raisons pour agir comme ils agissent. Comme à son habitude chaque personnage est servi par des interprètes exceptionnels. C’est ce sens du casting qui lui permet, ici, de faire passer quelques faiblesses du scénario par exemple on comprend trop vite quel est le ressort de l’intrigue. On est comblé de retrouver Pénélope Cruz, hier en merveilleuse ingénue, aujourd’hui en femme mure, pleine d’autorité mais pas sans faiblesse. Et quel plaisir de revoir Rossy De Palma qui semble toujours la même avec ce mélange de truculence et de gravité. Une actrice qui ressemble à aucune autre. On l’a découverte, il y a près de quarante ans dans les premiers films d’Almodovar. Mais le cinéaste s’il sait jouer de la complicité des habitués de son équipe reste un grand découvreur de talent; Milena Sait en jeune mère presque encore adolescente est formidable d’autant que son personnage évolue et qu’en fait c’est comme si elle en jouait plusieurs dans le même film.

La réussite des films d’Almodovar tient aussi qu’il ancre ses intrigues dans des milieux qu’il connait d’une part la bourgeoisie artistique de Madrid, la capitale espagnole est presque la seule ville dans la filmographie du cinéaste et d’autre part le petit monde d’un village pauvre dans les terres d’une Espagne qui a peu changé par rapport au temps de l’enfance campagnarde du cinéaste. Almodovar réussit, dans un plan final surprenant, à ce que l’on sorte profondément ému de son film.

 

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Pour retrouver Pedro Almodovar sur le blog:

 

 

8 décembre 2021

hommage à Rotella ? à ... Tokyo

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Tokyo, avril 2010 

 

8 décembre 2021

Stephane Simon in memory of me

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