14 octobre 2020
musee du petit palais
Publicité
Publicité
4 octobre 2020
L'âge d'or de la peinture danoise (1801-1864) au Petit Palais (4 et fin)
Paris, septembre 2020
Pour voir des oeuvres d'autres artistes danois de cette époque
1 octobre 2020
L'âge d'or de la peinture danoise (1801-1864) au Petit Palais (3)
Paris, septembre 2020
28 septembre 2020
L'âge d'or de la peinture danoise (1801-1864) au Petit Palais (2)
Je me suis amusé à chercher une oeuvre du sculpteur Bissen qui bien sûr n'était pas dans l'exposition.
sculpture de Jerichau, non exposée
Paris, septembre 2020
Publicité
Publicité
27 septembre 2020
L'âge d'or de la peinture danoise (1801-1864) au Petit Palais (1)
Le Petit Palais avec l'âge d'or de la peinture danoise présente une exposition très copieuse dont aucun des tableaux présentés est négligeable. Il faut remercier les musées de Copenhague et de Stokholm (dont les oeuvres proviennent presque toutes) pour avoir accepter de ce priver d'autant de tableaux majeurs. La scénographie est impeccable tout comme l'éclairage. Les cartouches sont clairs et pédagogique. Il reste au Petit Palais de faire la même chose pour la sculpture danoise de la même époque qui est aussi remarquable que la peinture.
Paris, septembre 2020
27 avril 2020
Les bas-fond du baroque au Petit Palais (1)
Belle exposition au Petit Palais sous un titre encore une fois racoleur et un sous-titre qui l'ai encore plus: La Rome du vice et de la misère. A quand, les ros seins chez Rubens, l'homosexualité illustrée par David Hockney, la peinture vaginale de De Kooning, les perversions sexuelles chez Picasso ou la représentation de la fesse chez Boucher, messieurs les curateurs si vous retenez une de ces idées, ce qui ne saurait tarder, ne m'oubliez pas. En fait que voit on dans cette exposition fort bien scénographiée, le versant profane des émules du Caravage soit une série d'artistes assez méconnus et pourtant de grande qualité représentés par des tableaux peu vus. Il est cependant dommage que cette remarquable exposition soit abimée par un éclairage presque toujours mal placé d'où de nombreux reflets sur les tableaux gênant l'admiration qu'ils méritent. Malheureusement mes photos (autorisées) en témoignent.
Paris, mars 2015
Publicité
Publicité