Jules Van Biesbroeck, “Happy”

Comments

[Gérard Germain]

Je ne comprends pas ces commentaires. Il est écrit "couvrir ses nudités" effectivement le tableau (ou la partie du tableau?) présente deux nudités (d'où le pluriel). A savoir la chèvre! Et le garçon. Y a-t-il vraiment un "émoi de nudité". La taille de l'oeuvre est impressionnante avec 7,5 m de hauteur et 2,6 m de largeur. Donc la hauteur égale 2,88 fois la largeur. Mais sur mon ordinateur, ce que je vois, la hauteur est 1,80 fois la largeur! Cette situation est incompréhensible. Parle-t-on de deux tableaux ou d'un tableau et d'une partie de ce tableau?

Où sont et que sont les nudités ... couvertes?

[jruof]

Je suis jeune, il est vrai ; mais aux âmes bien nées... Et celle-ci là été ! Jules Pierre van Biesbroeck, 1873/1965 a fait grande impression en 1890, non seulement lorsqu'il fait ses débuts au "Salon des Champs-Élysées" à Paris, avec "Le Lancement d'Argo" Mais aussi par la taille de cette œuvre de 7,5 m sur 2,6 m, qu'il peint a 16ans.

Laquelle provoquant un émoi pour la nudité de ses personnages grandeur nature, contraint Le garçon, appelé à Paris, a couvrir ses nudités pour pouvoir être exposé et obtenir la reconnaissance de son jeune talent par une "mention spéciale", non répertorié.

Cette présentation au Salon des Champs-Élysées de Paris était une sorte de pied-de-nez à l'establishment académique élitiste qui avait "bloqué" l'accès de l'artiste au Grand Prix de Rome l'année précédente.

Le tableau disparu quelque temps après le Salon a été découvert par hasard en 2021, enroulé et oublié dans le grenier d'une maison de banlieue en Belgique.

https://londonartweek.co.uk/wp-content/uploads/2021/10/16/Lullo-Pampoulides-72dpi-1024x503.jpg