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Dans les diagonales du temps
27 janvier 2023

Horace Vernet, Etude académique d'un adolescent (1807-1810)

Horace Vernet, Academic Study of Adolescent Boy

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26 janvier 2023

Troca 85

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Paris 1985

26 janvier 2023

Bradley Greene | Before the Match

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26 janvier 2023

Connor Maxon : Bénédiction

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26 janvier 2023

Fortuné Layraud

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jeune napolitain à la bulle de savon

 

 

 

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Joseph se fait reconnaitre de ses frères

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jeune mendiant

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26 janvier 2023

street art sous la Cité de la Mode de Paris

street art sous la Cité de la Mode de Paris
street art sous la Cité de la Mode de Paris
street art sous la Cité de la Mode de Paris

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street art sous la Cité de la Mode de Paris
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street art sous la Cité de la Mode de Paris
street art sous la Cité de la Mode de Paris
street art sous la Cité de la Mode de Paris
street art sous la Cité de la Mode de Paris
Paris, novembre 2014

Paris, novembre 2014

Dans les parages des fresques et tags ces mouettes participaient à une éphémère installation.

Dans les parages des fresques et tags ces mouettes participaient à une éphémère installation.


26 janvier 2023

Marcel René von Herrfeldt | ‘Two Male Nudes on the Shore’

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25 janvier 2023

Troca 90

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25 janvier 2023

Christopher Winter

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25 janvier 2023

TREVOR un film de Peggy Rajski

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USA, 1994

 

Réalisation: Peggy Rajski, scénario: James Lecesne, musique originale: Danny Troob, image: Marc Reshovsky, montage: John Tintori

avec: Brett Barsky, Judy Kain, John Lizzi, Jonah Rooney, Stephen Tobolowsky, Cory M. Miller, Allen Doran, Lindsay Pomerantz

 

 

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Résumé

 

L'innocence de Trevor, 13 ans, fan des chansons Diana Ross, est brutalement brisée quand son meilleur ami, le garçon le plus populaire dans sa classe, se retourne soudainement contre lui comprenant que Trevor est gay et amoureu"x de lui. Les camarades de Trevor commencent à se moquer de lui, trouvant qu’il marche comme une fille... La détresse de Trevor culmine avec une tentative de suicide mais dont on peut douter de son sérieux malgré la solennité de la mise en scène car le garçon décide de mourir en avalant un tube d'aspirine... Mais à la fin sa forte volonté et sa détermination l'aideront à accepter son homosexualité...

 

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L’avis critique

Ce film dont l’action est sensée se dérouler en 1981, n’a pas prix une ride et l’on peut ajouter malheureusement, car il traite de sujets presque tabous, le suicide chez les jeunes gays et la sexualité chez les pré adolescents. Sa principal qualité est de traiter ces sujets sans pathos et avec un humour certain. Cette mise à distance par le ton n’empêche pas l’empathie que l’on éprouve pour trevor. Dés les premières minutes du film avec ses mise en scène de suicides, que trevor organise pour que ses parents s’aperçoivent qu’il existe, de véritable appel au secours à des sourds autistes pour qui leur fils à la transparence d’une vitre et la densité d’un ectoplasme, on pense à Harold et Maud. Trevor est un harold de 13 ans confronté à des parents indifférents. Le court-métrage avançant c’est à un autre film que l’on pense, 50 façons de dire fabuleux. Trevor est la quasi jumeau du film d’Aitken, même physique un peu ingrat au corps trop enveloppé, même naïve follitude, même goût de l’évasion dans des rêves de paillettes joint à la passion de l’introspection a réalisatrice utilise pour faire avancer et densifier son histoire un procédé à haut risque qui donne généralement de très mauvais résultat, la voix off. Pourtant ici, on a jamais le sentiment, comme c’est trop souvent le cas avec cette figure cinématographique, qu’elle n’est là que pour palier le manque de moyen ou la médiocrité d’un acteur amateur incapable faire passer ses sentiment par le dialogue, jamais non plus elle est redondante avec l’image et cela grâce à une astuce, cette voix off est celle de Trevor qui lit son journal intime en contre point de ce que l’on voit sur l’écran. Pour que ce soit convaincant faut il encore comme ici que le texte soit écrit à hauteur d’enfant comme Lecesne est parvenu à le faire sans doute parce que tout cela est très autobiographique. En 17 mn le film réussi à mélanger réalité et désir. Il ne faut jamais oublier que ce que l’on voit n’est peut-être, seulement ce qu’écrit Trevor. Alors ou commence le rêve ou le cauchemar et où finit la réalité? Ce qui peut donne inune terprétation complètement différente du film (voir le résumé) et en particulier de sa fin. Plastiquement le film ne manque pas d’audaces puisque parfois Peggy Rajski brave l’interdit du regard caméra ainsi Trevor semble s’adresser à nous, cadré en plan moyen sur un fond neutre. J’ajouterais pour terminer que l’image est soignée avec des cadres inventifs sans maniérisme et une belles lumières. La musique n’est pas non plus pour rien dans le charme que dégage le film. Le film de Peggy Rajski est couvert de prix , en 1994 Trevor a obtenu l’Oscar du meilleur court métrage de fiction, le Teddy award 1995 du meilleur court métrage à Berlin. Suite aux réactions engendrées par le film au sujet du suicide chez les jeunes gays, James Lecesne, Peggy Rajski et Randy Stone ont mis sur pied une fondation Trevor project qui sous forme d’une écoute téléphonique ouverte 24 heures sur 24 se propose d’aider les jeunes gays en crise qui seraient tentés par le suicide. Le but de l’association est la prévention du suicide. Elle guide et oriente les jeune qui s’adresse à elle pour qu’il surmonte leur désespoir. Des permanence sont ouverte à Los Angeles, San Francisco et New-York.

 

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