Heptu faisant ses adieux à la ville d'Obb (1909)
La Légende d'Orphée (1895).
La carrière de Duncan s'est partagée entre Dundee et Édimbourg, il a donc évité les tendances Arts and Crafts de l'école de Glasgow. Son travail se rapproche des artistes français comme Alexandre Séon , notamment dans le traitement sculptural de ses personnages. Les sujets et motifs familiers abondent : l'énigme du Sphinx, les paons, Wagner, la sorcellerie, et une variété de mythes et légendes, de l'Ecosse à la Grèce antique. On peut aussi dire que John Duncan est un préraphaélite tardif qui aurait intégré l'influence de Blake. Les dessins à l'encre proviennent de The Evergreen, A Northern Seasonal, un petit magazine d'art et de littérature publié à Édimbourg qui a euquatre numéros de 1895 à 1896. Dans les travaux ultérieurs de Duncan évité les bouleversements du modernisme en s'en tenant à des sujets religieux sûrs. Si la date est exacte pour ce Sphinx, il devait sembler très anachronique en 1934.
Le défi (1934).
Sortir (1895).
Anima Celtica (1895).
Une Sorcière (1898).
Ivoire, singes et paons (La reine de Saba) (1909–1920).
Licornes (1933).
Masque d'Amour.
Les Fomors (ou Les Pouvoirs du Mal à l'étranger dans le monde).
Force et Raison.
Bonheur.